
 
		In  C is so ru n i  c a u l c ,   r a in i s ,   f o r s a n   c t   r a d ic ib u s   n a s c itu r   e x   in te r n i  lig n i  p n r t ib u s   e t   
 s li-a to ru in   e xL e n io r u in ,  a   q n ib u s   q u a s i  in d u s ii  sp e c iem   e t   fu lc im e a tum   h a b e t ,   m o rb o -  
 s am   e t   f e r e   snbcro s'ani  p r o d u c e n s   e r o lu tio n em .  Modus  qno   s em in a   a d   iu te r io r em   h a u e   
 l ig n i   su b s ta n tiam   p c r r e n ia n t ,  e tiam n um   t a t e t ,   q n am v is   a d e o   m in u ta   s i n t ,   n t   v e l  p e r   
 m a x im e   e x ig u a s   p o s s iu t   p e n e t r a r c   f is s u r a s . 
 Quoique  les  Anciens  n aient  eu  des  notions  exactes  sur  le  parasitisme,  il  conste  néanmoins  que  plusieurs  pa-  
 insi  es  u  r  gne  v  gétal  leur  ont  été  connus.  Théophraste,  l’un  des  Grecs  dont  les  ouvrages  sur  l’histoire  des  
 u  m   v   conservt5s jusqu’à  nos  jours,  a  connu  la  cuscute,  le  gui,  les Orobanches,  le Loranthascuropaeusc  
 are  e  îerre  comme  nuisible  aux  arbres, aux  tiges  desquels  il  grimpe;  tandis  que  Dioscoride  est  le  premier 
 n  eur  qui  ai  ait  mention  d’un  vrai  parasite  qui  habite  les  racines,  c’est  l’hypociste,  dont  il  parait  avoir  
 *e,UX  esp  ces’  seI.on  Ie  texte  d’un  mss.,  qui  se  trouve  à  la  bibliothèque  Impériale  de  Vienne,  et  dont  
 n a t n n l i s .  Y 6  ®  1**u.lre  ull.e  Orôbaüche  ou  une  Phelipea  (Theop.  H ist.  pl. VIII. 8.).  Pline,  le  grand 
 lo  o-  '  •  1   ma,ns’  para!t  ayoir  admis  trois  espèces  de  parasites,  dont  deux  doivent  être  considérées  comme 
 M H   généralement  répandu  en  Europe  et  dont  la  troisième  est  le  genre  Loranthus  (Hist.  JVtO. 
 w ir   i  Ü B B j   ,  gfand  uuàtomiste  Marcellus  Malpighi  de  Bologne,  puis  Paul  Boccone  et  Micbeli  au 
 „ n i   C  r   S  C  n0US firent  connaitre  le  célèbre  champignon  de  Malte  (Fungus Melitensis),  que Micheli 
 de  i l i S i   ?  T 1’»!  croyait  être  une  plante  »> secundarii  vel  parasitici  generis.”  La  première  espèce 
 i  u  ¿couverte  par  Patrick  Browne  dans  les  forêts  vierges  de  la  Jamaïque.  Louis  Claude  Richard  la 
 nomma  e osis  guianensis. (Marc. Malpighi,  opéra  omnia.  Lond. 1686. p. 49.  t. XXVI.  p.  54.  XXXVIH-  f.  138  Mich 
 j j j j g j B   Pr  17’ |  M   Li"“’  Amoen.  Acad.  ¡ g  H  1   Browne,  bist,  de"  la  J ^ q u e .   Lond.  1756).* 
 .  fn  6 C  ,  re  ^orster  aPporta  de  la  Nouvelle  Calédonie  la Balanophora  fungosa,  q u 'il’avoit  trouvée  dans 
 re  s  sous  e  bois  pourri.  La  Ifydnora  africana  fut  trouvée  la  même  année  sur  les  montagnes  et  dans  les  
 p aines  ari  es  u  ap  de  Bonne  Espérance  par  Thunberg,  qui  n’hésita  pas  de  considérer  cette  étrange  nro-  
 i s s  I^n  C0™m®  un  « M   landis  que Sparmann,  lors  d’une  excursion  par  le  pays  à  une distance  d’environ 
 mues  u  ap,  dans  les  ombres  d’une  forêt  de  Mimosées,  vit  sur  un  tapis  formé  de  prés  verds,  une  plante 
 qui  o  n   une  cou eur  rouge  de  sang.  Cette  plante  était  le  Sarcophyte  sanguinea,  qu’après  lui  M.  Wehdemann  
 retrouva  non  loin  de  Grahamstown. 
 Parmi  les  découvertes  faites  au  commencement  de  ce  siècle  aux  terres  Australes,  sont  celles  du  premier  
 botaniste  de  notre  époque,  celles  de  Robert  Brovra,  de  plusieurs  espèces  de  Cassytha  (Prod.  il.  Nov. Holl  et  ins 
 van  Uiemen  1810);  ensuite  celle  du  nouveau  genre  Caldasia  trouvé  au  Brésil  par  Mutis,  qui  contient quatre 
 espèces,  dont  l ’une  est  sans  aucun  doute  l ’Helosis Brasiliensis.  Eu  1817  M.  Langsdorff découvrit  aux  environs  
 de  Rio  Janeiro  une  plante  parasitique,  que  von Martins  et  Richard  mit  décrite  comme  un  nouveau  genre:  
 Eangsdordoffla.  (Voyez :  ünger's  Beiträge  zur  Kmntniss  der  Parasitischen  Pßanzcn, in  Phyt.  Abh.  aus  den 
 Ann.  des  Wien.  Museums  der  Ndturgeschichte.  Wien  1841.  p.  l6   u.  s. w.). 
 Nous  ne pouvons  passer  ici  en  revue  tous  les  genres  des parasites,  que  l’on a  découverts  dans  l’espace  du  quart  
 e  Sl  c e ,   qui  vient  de  s écouler,  tels  que  les  genres  Brugmansia,  Rhopalocnemis,  Balanophora,  Mizodendron  
 etc.  Fixons  au  contraire  plus  spécialement  notre  attention  au  genre  Rafflesia,  dont  deux  espèces  font  le  suiet  
 de  ce  mémoire.  J 
 La  première  espèce  de  Rafjlcsia  qu’on  ait  découverte,  est  décrite  par  M. "Robert  Brown  dans  les  Linnean  
 ransachons  Vol.  XIII.  Lond.  1822,  p-  201 ’).  Le  récit  de  l’histoire  de  la  découverte,  lors  d’une  excursion  de  
 encoo en  vers  1 intérieur  de  Sumatra,  par  Sir  Thomas  Stamford  Rallies  en  compagnie de  Lady Rallies  et  du  Dr.  
 Arno  ,  est  contenu  dans  une  lettre  de  RaiHes  au  célèbre  Sir  Joseph  Banks,  en  date  du  13 Août  1818.  L’histoire  
 e  ce  prodige  de  la ¿nature,  d’une  fleur  qui  avoit  environ  un  mètre  de  largeur,  depuis  ce  tems  est  devenue  
 presque  populaire  ).  II  parait  que  le  Dr.  Horsfield  ait  découvert  une  seconde  espèce  à  l’ile  de  Java,  mais  dont  
 les  détails  nous  manquent.  M.  le  Dr.  Blume,  dans  sa  Flora  Javae,  a  débuté  par l ’histoire  d’une  nouvelle  espèce  
 de  Katllesia,  qu’il  a  illustrée  par  des  figures,  et  qu’il  a  nommée  R. Palma3). 
 M.  Robert  Brown  dans  son  premier  mémoire  a  décrit  une  plante  mâle  de  la   R.  Arnoldl  En 1843  il  a décrit 
 la  plante  femelle4)  et  le  fruit  de  la  même  espèce.  Il  la   déclarée  dioïque,  comme  sont  les  espèces  cm’on  a 
 mentionnées  depuis  (R-  HorsficMi  et  R.  Cumingii  Br.),  hormis  la  R.  Patma,  que  M.  le Dr.  Blume  avoit 
 déclarée  hermaphrodite,  ce  qui  est  en  contradiction  avec  les  autres  observateurs. 
 Une  nouvelle  espèce  de  Rafflesia  vient  d’être  découverte,  il  y a  trois  ans,  par  MM.  J.  E. Teysmann  et  S. 
 Binnendijk5).  Les  notes,  qui  suivent contiennent  des  détails,  qui  pourront  suppléer  à  ce  que j ’ai  communiqué 
 en  1851,  sur  cette  découverte,  dans  le  Journal  de  Sir William  Jackson  Hooker. 
 Je  soumets  au  jugement  des  botanistes  les observations  suivantes sur  les  deux  espèces  connues de  l’ile 4 c Java 
 dont  nous  avons  eu  la R. Rochuseenii vivante  'sur  le  Cissus dans  les  serres  du  Jardin  de  Leide,  en 1851. 
 *) J n   Account o f a  nea  Gemts  0/ Plante,  named  Rafflesia.  By Robert Brown,  Esq.  80  Juno  1820.  W. Jaolc  in  Hooker',  Compamon  1  1838  950  
 o*  L   n^ C8fSUj   f ®   fleur*  ,d®  la main dn  Dr-  Arnold.  d&ddd P»r  suite  de  fatigues  dans  ses  recherches do la  naturo,  après  l’excursion  que  nous  venons  do menlionner  
 Î aJo  “ “   Îamf  i  /   ?”  t   ï "   ‘V 6“ "5  en.qu“ tion’  fl0nüent cnlre 8utiM:  *To  toU  fto  tmth,  had  I   boen  alone,  and  had  thore  been  no witncsscs  1  should  S i   
 -me  and  a Ur  P a lL ^ T   0mnS  dlmen310ns  °f  thls  flowor>  80 much  doEsit “ «ccd  every  flower I   have ever  seon  or  heard  of,  but  I   had  Sir Stamford  and’ Lady Raffles  with  
 ’  ‘  ’  8  respectable man,  resident  at Manna, who,  tbough  equally astonished  with  mysolf,  yct  ara  ablo  to  leslify  as  to  tho  trulh” 
 *)  Flora Jrnae,  VoL  L  T.  1.  2. 3.  Bljdr. Nat. ■J/'il. -IL  ¿19. 
 *)  Trans.  Zinn.  Society. XIX.  1845.  22L  
 j l . f Î   H ä   ^   “ *L  tetUr Jrm Dr. W. H.  do Vriua la Hol»rt II,™,,  E,,. «  ,  « 
 Ind.  Tir  in  V  h  i  r   m   f ’  J,mMn  m d   S-  B'uueudijk,  in  Hookcr’s  Journal  of Botany and  Keu-Qarden  Mi,cell.  VoL 1IL  1851.  p. 217.  ~  Miniiol  Anal  bot 
 r  F Z J S Z S l¡ g S “ 8- T' ”■ “ 8tat  lss!- -   -  »—n.  m i ï L 
 ‘“ I ” . " " ,   1»  P.g»  ™ t e ,   .   « i   M a t  a .  ^ 1 ,  p .,0 ,  j   „  m   lni,„ d lI  JV| pub„   cn  , 
 ilpoada  ib a .  le mamcrco,  vu qno je  ubvoii bis  tirer  à  m a   frais  qu’un  petit  „ombre  [¡'exemplaire!,  ’   1 
 EAFFLESIA ROCHUSSENH , TEYSM.  et  BINNENDK. 
 R.  Dioica.  Mas:  forma  depresso-sphaerica;  antheris  15-19,  serie  simplici  disei  in-  
 ferum  marginem  cingentibus ;  columna  totidem  sulcis  descendentibus,  antheris  oppositis  
 instructa;  disco  suhpatellaeformi,  glabro  nudoque,  in  medio  stellac,  figura  notato  Tel  
 processibus  ibi  loci  (1-2) obsesso.  Foem.  forma  globosa;  pro  antheris  in  facie  inferiore  
 patellae  offert  parva  tubercula,  valde  distantia,  interna  structura  homogenea;  tubo  
 perianthii  interne  squamoso  vel  ramentaceo,  vel  glandulis  longe  stipitatis  instructo.  
 C o n f.  A u d i .   11. 
 Habitat  montis  S  ala h  sylvas  umbro s as  ad  4000'.  Creseit  in  trunco,  ramis  de-  
 cumbenlibus  et  radice  (?)  Cissi  s e r ra lif vliae  Roxb.  (Cfr.  H o o k  ,  Misc.  I I .   Suppl.  t .   6 .  
 W a l k   &  A r n .  Prodr.  128.) 
 La  planche  1  de  notre  Illustration  représente  le  tableau  de  la  végétation  de  Rafflesia  Rockussenii  au  mont  Salak,  à  la  hauteur  indiquée  
 et  dans  les  circonstances  que  nous  indiquent M. M.  Teysmann  et  Binnendijk  dans  leur  lettre  du  27  Sept.  1852.  Nous  y  voyons  la  Rafflesia  
 Rochussenii  sur  la  tige  du  Cissus,  qui  rampe  à  la  surface  du sol  et  monte autour  d’un  tronc,  montrant  vers  la  partie  supérieure  du  tableau  
 ses  branches  et  ses  feuilles.  La  plante  parasitique  est représentée  dans  trois  différents  états,  c’est-à-dire,  dans  un  état  fort jeune  encore,  à  
 périgoniales  pas  encore  épanouies  et  pleinement  développées.  A  la  partie  antérieure  du  tableau  l’on  distingue  de  petites  fougères  du  genre  
 Polypodium  L.,  une  légumineuse  rampante  (du  genre  Parochaetus?),  à  la  droite  une  mélastomacée,  la  Kibessia  azurea.  A  gauche  il  y  a  
 une  Oavallia  heterophylla  qui  dépend  d’une  manière  très  élégante  du  tronc  et  dont  les  rameaux  sont  entrelacés  arec  les  feuilles  du  Cissus;  
 ensuite  une  Vanilla,  une  Freycinetia,  tandis  qu’une  Selliguea  occupe  la  partie  supérieure  du  tableau.  Enfin  au  fond,  l’on  voit  un  Calamus,  
 et  pour  ce  qui  concerne  les  autres  parties  du  fond,  il  n’a  été  possible  d’entrer  en  plus  de  détails.  Les  Rafflesias  sont  dessinées  d’après  
 nature  au  lieux  mêmes  par  van  Aken-;  le reste  du  tableau  est  en  partie  un  croquis  du  même  artiste;  le  tableau,  tel  qu’il  est achevé  par  le  
 talent  de M. le ’Contre-Amiral  Ver  Huell,  est  lait d’après  les notes  de  M. M.  Teysmann  et  Binnendijk,  et  une  conception  d’après  des indications  
 de M. M. Reinwardt,  Korlhals  et  Junghnhn  etc.,  qui  ont  visité  le  Salak  et  qui,  de  leurs  journaux  comme  de  leurs  herbiers,  nous  ont  
 fourni  les  matériaux  afin  de  pouvoir  compléter,  ce  qu’il  y  avoit  d’inachevé  dans  le  dessein  de  van  Aken. 
 La  planche  II  représente  la  Rafflesia  Rochussenii  avec  une  branche  et  le  feuillage  du  Cissus.  Elle ‘est  faite  à  Buitenzorg,  par  van Aken.  
 Les  nuances des  couleurs  varient  tant-soit-peu  d’avec la  planche  I.  11  paraît  que  les couleurs  ne  sont  pas  toujours invariables  dans  les  mêmes  
 individus. 
 R .  R o c h u s s e n ii  ma s. 
 F o rm a   e x te rn a   specilli intuii  nostro rum   (in   sp iritu   vini  servatorum)  nondum  expansornm  e s t  su b g lo b o sa ,  fe re  
 0,13  lo n g a  e t   la ta .  Massa  s u b e ro s a ,  q u a e   c in g it  b a s in ,  m a ju s   minusve  o c c u p â t  sp atium .  B ra c te a e   (sive  p e rigonìi  
 p a r te s   ex te rio res)  su n t  im b ric a ta e ,  r o tu n d a ta e ,  n o n numquam  la tio re s   q u am   lo n g a e ,  u tra q u e   in   su p erficie  g la b ra c ,  
 a t   R afllesiae  p a r te s   in te rio re s   d im id iam   fe re   p a rtem   in c lu d e n te s ,  q u a e   in   a e s tiv a tio n e   su n t  im b ric a ta e .  Forma  
 p la n ta e   in   q u a   flores  p ia n e   su n t  expansae  e s t  magis  p la n a .  L a titu d o   max im a  floris  a p e rti  0,145.  Circumfe -  
 r e n tia   floris  a e q u a t  0,43. 
 In   d e se rib en d a   h a c   sp ec ie  p a rtim   sp ec im in a  n o s tra   s e q u a r ,  p a rtim   illu s tra tiu n e s ,  q u a s   ex  in su la   J a v a   a c c e p i,  
 T eysm anni  sub  a u sp ic iis ,  ab   expe rtissimo  van  Aken  f a c ta s ,  e t   q u a s   n u n c   edam  h u ic   illu s tra tio n !  a d je c ta s ,  quas-  
 q u e   vero  in   m in o re  opusculo  a n te   p ro   p a r te   ededì. 
 Ip s a   disc i  lam in a   p la n a ,  sed   in   c e n tro   p a rum   impressa  e s t ,  n isi  exc ipia s  p a rtem   m e d iam ,  q u a e   a liq u an d o   
 processatili!  ru d im e n la   u n iu s   vel  duo rum   e x h ib e t  (fig.  3  ta b .  IV.  ta b .  H I.  fig.  4.).  Hoc  imprimis  c h a ra c te re   
 d iffe rì  b a e c   species  a b   a liis  h o d ie  co g n itis   Rafflesiis. 
 D is c u s   la tu s   e s t  0,07— 0,09.  F u n d u s   f la v ic a t,  margo  e   ru b ro   fu s c c s c it,  p a rs   m ed ia   stc lìam   co lo ra tam   o b fe rt,  
 in   q u a   m ed ia   circ u lu s   c e rn itu r.  (T a b .  111.  fig.  4.)  Margo  disci  valde  a tte n u a tu s ,  vix  c re n u la tu s   e s t,  
 levissime  e t   irre g u la ri  modo  in   superficie  e t   p ro p re   p e rìp h e riam   s tr ì a tu s ,  exlrorsum  e x c a v a lu s ,  d e in d e   qu asi  
 obliq u e  ab s e is su s ,  e t   u b i  p e r  lo n g itu d in em   e t   in   medio  d is se c a tu r  R affle sia,  angulos  v a ld e   ex s tan te s   eosque  
 acutissimos  offert  (q u a le s  e .  g r.  ta b .  IY.  fig.  1,  a ttam e n   in   spec imine  fo emin e o ,  proponit). 
 In fe rio r  superficies  e s t  a n th e r ife r a .  H a e c   a   m a rg in e   disci  se p a ra tu r  c im i lo ,  q u i  ab   eo  0,008  d i s ta t ,  e t   in te r  
 hos  duos  circulos  e s t  e x c av a tio   c irc u la ris .  Massae  a n th e ris   v ic in a e   superficies  e s t  tu b e r c u la ta ,  h ic   illic   pilis  
 ra ris   sp a r s is ,  longis  p ra e d ita   e t   o b scu re   fusci  coloris.  A n th e ra e   su n t  q u in d ec im   v e l  p lu res  (F ig .  10.  11.  ta b .  IV.  
 in e d .  m .  5-9)  in   c a v ita tib n s   p ro fu n d e   im me rsae ,  a lb ic a n te s ,  iis   Rafflesiae  P a tm a e   h a n d   dissimiles  n e e   quod  
 fo rmam ,  ncq u e  quod  m ag n itu d in em   n t tin c t.  In   medio  ap ic e   su n t  valde  im p re s sa e ,  e t   ib i  forsan  e tiam   pollinem  
 em ittu n t.  In te rn e   su n t  m u ltis  c a n a lib n s   versus  apic em  te n d e n lib u s   in s tr u c ta e ,  pollinem  co n tin en tib u s .  S tru c 
 tu r a   a n th e ra rum   in te rn a   e s t  a lb i  coloris.  P o lle n   formam  h a b e l  sp h a e ric am ,  (F ig .  1 1 .  12.  t a b .  IV.  e t  
 fig.  5.  8.  10.  ta b .  III.) 
 B a s i s   d is c i   e t   columnae  e x h ib e t  sulcos  lo n g itu d in a le s   in te rn e   squamulis  p a rv is ,  fusco-nigris  o b te c to s ,  c a c te rum   
 tam en   g lab ro s  (F ig .  2.  a .  ta b .  IV .e t tab . III. fig.  3).  P e rs c c tà   in  lo n g itu d in e  to ta  massa a  disco a d  b a s in  Rafllesiae ne