iiiiigiiript, mit vier umgekriiiimitoii Griffeln gekrönt nn<l von
einem [jlriemonlumiig 2ngCK|iitztcn Stiitzlilaft getrag-en. Die
FrUclite, zu (ien gi-<isseren geliiii-ig, cilxen zu 2, 3 bis 4
beisimien, seltener trifft man sie einzeln; sie sitzen auf eincin
kurzen Stiele, der stark, 3—4 Linien hing und etwas ülzig
ist. Sie reifen im zweiten Jalue. Der becheifürniige Frnehtna)
if ist brmintilzliiuuig, die Soluiiipen sind läuglicli-lanzottlicli,
linem'-pfrienienfdnnig, nnid, steif: die iintei-en alst<-lienden
baben eine iiingebiigenc Spitze, die mittleren und obei'en
sind iilier der Basis unigebogen nnd an der Spilze i
oder minder aidgebogen. Die Kicbcl. tlreinial länger als der
Heclier, ist eiförmig, länglioii, dunkelbraun und, den etwas
filzigen Seileitel ausgenommi n, ganz glatt. Die Anlieftnngs
stelle der Eicliel ist fast eben.
Dio Abtlieilung Cm-is mit zweijäln-iger Fruclitrcil'e ist
cbn-cj] diese Art allein in Devitsebland vertreten; sie erix'ii'bt
ihre nordwestlieiie Grenze nordlicli von Wien in llähron
auf den Polilaner Bergen, sowie bei St. Böllen in UberÖsterreich,
ist aber in ['ngarn sehr hiUifig. Untei- den bisher
nicht genau gekannten und geti-enuten Arten der Abdieihnig
Cerris gieht es mehrere im Oriente, durch ganz
Kleinasicn, über den Libanon bis in das südösthcb von Danmsfius
gelegene Hauran und Armenien hin verbi-eitet. Auch
in Griechenland. Sieilien. dem niitdeni Spanien nnd Portugal
kommt f'erris niclit selten vor. Exemjjlare aus Ost.
Süd und West vergiiclien. bieten in den Flüchten nicht
binliiiigliche iUerkmale. um sie ohne näheres Studium der
Blütheii, die bisher meist ungekannt sind, ti'otz munchei-
Untoi-scbiede als Species trennen zu können, obwohl in der
Folge sicherlich einige gnte Species auftjiuelien dUi-fteu,
Willdenow, der diese Art aufstellte, mei-kte bereits eine
•^'erschiedenlieit zwischen ilei- nöi-dliclien von ihm aufgestellten
Qfiernii austriaca vuid der südlichen Quercus Cerris von
Linne.
Tin nördlichen Europa ist diese Eiche des Aubans
würdig.
Das Rotlnviid liebt dio Früchte
Holz hat vielen Werth, nnd «ird zum
nen and Weinfässern ver\vendet.
z besonders: das
u l-ngarn zu Ton-
))ar 4 slyles dressés ot i)ortant fi leur luise nue bractée sntniliforme
aouminée. J.es fruits, de la catégorie des plus
' gros, sont réunis au nombre de 2, 3 ou 4, rai-cniont on les
renconti'c isolés ; ils sont portés sur un pédieelle court, do
2 h, 4 lignes et nn peu tonientoux Ils parviennent ii niaturité
dans la seconde année. La cupule, en forme de godet,
est recouverte il'uu feutre linm ; ses écailles sout obloiiirncs,
lancéolées, hnéaires-subulées, aiTondies, raides; les inférieures
sont écartées; h, extrémité recourbées; celles du milieu
et du liant sont recourbées .ludessus de la base pour se redresser
plits ou moins îi leur extrémité. Le gland, trois
fois )ilu8 hnig que la cupule, est ovoide. olilong brun foncé
et entièrement glabre, il l'exception de son sommet légèrement
tonientoux. Lo point d'insertion de la cicatrice du gland
est iircsi^ne plane.
Le gi-oupe des Cerris, il maturation biaannnellc, n'offre
que cette espèce connue représentant on Allennignc, ofi elle
atteint son extrême liuiite nord-ouest au noiil de Vienne sur
les mimtiignes de Poblaii en lloravie, ainsi cpe près de
St. Poelten dans la Hiiute-Autnclie; elle est répandue en
Dans le Gi-oupe des Cerris existent plusieurs espèces
insufiisaumieut connues jusqu'ici ct qui sont répaudaes par
toute l'Asie mineure, de|nns le Libiin jusqu'au Hauraii au
nord-est de Damas et juscpi'en Arinéniu. Le Qnercus Cerris
n'est pas i-are non plus eu Grèce, dans l'île de Sicile, an
centre de l'Espagne et ila Portugal, Les échantillons que
nous avons reçus de l'est, du midi et de l'ouest de l'hairope
n'olîi'ent point dans leurs fruits de cai'actères siifïisants pour
les rapporter Ji des espèces distinctes; l'étndo des fleurs qni,
jusqu'ici, sont généralement inconnues, iioiiri'ait bien fournir
des curactèrcs spécificpies qu'il est réservé il l'avenir de
rechercher. Willdenow, l'autear du Quercits Cerris, constate
digii une ditTérence entre le Quervus amiriacn plus
septentiiunal (pi'il décrit et le Quercxn Cerris Linné «pii appaitient
aiLX contréos j)lns méridionales.
Ce chéro mérite d'être cultivé au nord de l'Euro|)e.
Les bêtes fauves affectionnent particulièrement ses fruits. Le
bois est d'une grande \-alem- et s'emploie particulièrement
en Hongrie ii
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