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CYCAS CIRCINALIS. lixn
Cycas à feuilles circinnées.
</,t Jardin tie Buikmorg à Java el des milres Jardins du Iloynmne.
F a m i l l e n a t u r e l l e Iles C j c a d é e s . D l o e c l c . l - ( i l , a i i i l r l e.
CAHACTÉIIES SPÉCIFIQUES.
c . caille annulalo; sliplto tcrele vcl aiiguliito, ulrinque spimiloso; foliolis ojiposilis vel
u l l e r m s , aiignsto laueoolatis, liocari-siilifalcatis. Mas. Cono oWougo, fere ses<|ui]ici
l a h, squamis anilioriferis cimealis, ajiice subilo in acumcn angustuiii sursum rellcxiim
c l o n g a l i s , iouge acurainalis, lusco-loracutosis, superiiB arcolalis, inferne anlheriferis.
Pem. C.arpoiiliyllis clongalis, siimalis, apice laliorc erislalis ; ovariis glabris,
compressis; fi-ucliliiis globosis, sursum lalioribns, leyilcr eoniplanalis.
(RWe,l», hort Mal. m. 9. Lku. hort. CUIT. 482. s,,, pl. I. 1108. sj.t, „ . l . ol x. et un. p. 72Ü.
~ " T . ' ' ' - »li'l- l"»ll. se- lihj>. 1838.
p. 81. couim. phjt. p. 111.
spoorica lîoxh. es aiicl. .lliq.).
Nom. voni. Toihln pamm. lo. hort. iiii.1. 1. c. Ub. l l l - X X I . Hook. 1. o.
Uou n«lal. Lo. lies do l'Archipel île la .Soailo, la eólo ,1e Walate., l'ilo ,lo Cejlaa, elo.
l a pi eaiieie lige ,lo Cjcas oiranaliï d'aiie sraiiileiu. coiishlór.iblc, «iiii .oil .i|iportée on I ja-opo, m'esl oiivoyéo
,„s feoillo. ol saa. raolae. par Mr, P. .Mcrkas, (ioavoriienr gcnér.il ,lo. Inde. Orionlales. lille n conlirmé e.
.|U0
sanoa. par l'airtour du llorln. SMaliarica. (1. c. 13), quant à . a ló.mciló à la
doul hl !U[S0 doit (Hro n.îceisairomeiit dans lahoudaiioe de la nialière
dan. lente
Alin de
bonieroii.
i e ; ( l ) (dieuoinène
! sol..itinouso el somnieuse, qm iareuiplil
c.s parlie., el qui i
> pord pas mémo diin. les trônes, qui pendant plu.iour.s moi. ont éto dore
o\posé uios obsoryalioa. t
sujet ailleurs (Ilot inslilnut, ). a. pl.).
pas répéler sn|. l'histoire de .
-.otlo piuuto, ee qiù a élé avaneé snr oe Slijol par d'anti o;
c fails suivaais. L'iino des planches doit illnsirer Pinllorescenco fémeile" dôut l'histoire' ayant 7té
,.v|)o.see par los aiiloura, qui dans lo, dorniéros unnoos ont Irailé ce sujet, il ne nmis roilo qu'il obserrer oo
qui suit- 1-.1 %- 1 demie ia noiir l'émolie avec les fondles .eli'.inehoes, toile que j'in observé moijuènie
00 dovoioppeuioiit dans la première planto do eelle espèce qui jiil Henri en l-Airope, mais dont uécessairoiiient
les Oïiiics oui du avorter (Bg. 2. 3). l'Iiinoresoouce fomoile dan. l'élat oi'i nous l'olfrous, n a jamnis olo reprosciilee
d'uuo mamere ejacle, opili.èlo qu'on nc sera pas dispose n allribiier aux f.smos do liheedo. La lie
1 douuo le earpophjUe avec los fr.nis, lehi qu'ils lo moulraiont dan» ,m obiel virant, nllaehé, oucoro i une
lise reçue récemment de J „ , a . l,a lig- 7 ropré.eulo un pirispermo avec l'eu.brjon. l.es llg. 5, 0, 8, 0 douuout
la noiv coupee en sous ion^iludinul ot eu diroclion transverse, loqioar. sau. embryon, Lo n" 8 monire
dans lo peris]iorme, imparfailomeni doveioppé, onooro ies vesligos des cananv embryonnaires avortés, ol lo rosie
do in no.v rempli d'nne mulière hrnnàiro. 11 osl ronmrqnalde, que l'oiamen do" plus do doux cenl, noix bieu
de.eioppio«, m'a prouve quo presque lonjour, les graines sent sloriles, et qu'il esl raro den trouver avec
I embryon bien forme; eo qm s'explique non seulemonl pur lenr nnlure dioïque, mai» encoro par lem vio
,ohl.„ro. L'aairo doano le cino uiaio, qui, do mémo, n'a jamais oté représcaté daus in grau,lour naliirollo,
l essmee d après ualure snr un objet du Jardin do Buileuzorg, A j do la graudeur unlurello dan» lontes .os
duneiisions, la pinnel.o neluul pas assez grnndo pour roprésonler lobjel dans loulo sa graudonr dim demi
niolro de longiu-nr, sur environ 0,18 de largeur; il esl oldoiigne, .atténué à sa base, (jni est cuvirounée ilc bi-aeleo,
s Imenires: le sommet est obtus, la couleur est J a mie et bnmàtre. La .liaguose doime les caractères des
«•cadlcs. Les aullières sout imiloculaires, ovales, attaches par leurs bases ans ccailh-s (fig, 2 - 5 ) ct «lisposés
pU.s .m inoiiis resi.lièreuiei.t, n di'-hisceucc loi.sit.idmalc (fig. 2 - 1 ) . Le pollen est oblong, ellipsoïde, avec
luic ligne médiane longiIndhiale.
•lous les corps vhanls onl nue chaleur propre, ce qui veut dire, qu'ils ont ime température difl'.h-eute et iudépeudante
de celle des corps cnvirouuauts. Celte chaleur est intimement liée à leur ualure et so modifie
selon les divers étals <huis lesquels ils so trouvent. Cette conséquence iic'cessaire des chaugenienis siiecessils,
qu'éprouvent pendant la vie les matières organiques, A sou tour, est uue des causes qui couservent les corps
orgamso.s et par Ics.iiiellcs la vie aiiiumle et végétale sout mises à labri d'nne destrnclion ou dissolution, que
los cîmnislaiices extorieures ue larderoieiit pas de prodnire. C'est cette chalein- l)roj»re, qui permet aux animaux
dhal)iter les régions du globe, qui à cause du froid seroieiit inhabitables; qui permet .aux végétaux aquatiques
de se développer dans les eaux en cougélation; qui abric les arbres contre les hivers, et qui, sous les
tropupies, lait résister les végétaux A une tempér.iture souvent trop élevée pour leur orgmiismo. Les observations
sur la chaleur propre dans les fleurs des Aroidées, par Mrs. de Lamarck, Sénébier, de .Saussure, lîorv
de SI. \iuceut, Ad. Broiigniart, le Ur. llasscarl, G. Vrolik, de Vriese, van Heek, Hergsnm, el les résultat^
de ces recherches, sonl Irop connus jionr les passer ici eu revue. Tu général, elles oui montré que, dans la lamille
que J e viens de nommer, ce phénomène a lieu dims un haut dégrc^ et qu'il a son origine daus nue espèce
de comimstiou, c'est îi dire, mio absorption d'oxvgène el émis.sion d'acide carbonique. C'est à 31r. A. van Heek,
(t) »Cnctorum ni-horis iiujiis l<inla est frrlilita
railiccs ciiiitlnt, ÜI in nrboivm roii.isciitiir; v
i l'ccisiis tcme loviu
lori-a cvuls.1 sicrn .ni-bor pw- [itiii
3vnm arborpm progcroiinel, ut ipunci fi
os terne ciimroissus reviTiecat, cet." (i. c.
r v r w c ^ piRi'.L'-wi.ii^N