I ' O S I T I O N S DES STATIONS PRINCIPALES.
T^oiiglUKlc E. 115" 5o'
C.-IU- hititiulc. obsfrvóe dun!
,lii,iu- Jc .rll,' Jc ('.»irli, ramci
M. ,1b Rossini |.1ìii'.' AnJiniiic
Iio.ir Aiiil.oi,,.; laS" 5o' 3,
„01» l-avoiis olil.-n„ on iions n
1.,. .•„i.iNiii.o llojivoo,!, conn
CI i>;ir .K's cliiononii-lres
AMÜOl!
1.- foil Victo
l.aiin<l. fi, 3" /•if/ii"
, est (Icdu I dii Cygne. La longitude est d¿pei
i-íglc. , Iblax , a ¡ - 5Î
. la partie
iTunc sirie <lo liaiiteurs de
i i 8 , i()o, -iG et 3377.
PE. (k- Ciiïeli <lc I" 4' 31"; nous avons -vu ci-dessus que Caïeli est par 124° 45' 5g",8; on aurait
,8 : (^e (¡ni ne dilTfre que de quelques secondes du résultat que nous n'adoptons que parce que
d;im directement de Caïeli ù And)oinc.
indant la (régate /a Dédaigneiuc, on 1802, a trouvé par des observations de distances lunaires,
à Malacca, 195° i>4' 40"; el lu frégate liollandaise Maria-Reygersbergen, par des chronomètres
II.E SAVU. IjliluJc S. 10- 32 10"; l^iigiwciv E. iig' Ui 34".
cidenlale de l'île Savu a été déterminée dans le Voyage de DeiUrecasteaux.
JACKSON (N.
d'étoiles et six de ha
Sydney.
observations, 246 disti
>his certain, nous ave
Dix-neuf séries de hauteurs
placé .lans le fort Maequario à
Si lions n'acloplions que nos •
mais pour obtenir un resullat
»Nim). I.ilUudc S, 33- 5.' 4o"; Longitude E. i48' 5o' ./-
eurs du soleil nous ont donne la latitude de l'observatoii
ces lunaires donneraient pour la longitude du même point
s combiné nos distances lunaires avec toutes celles qui <
dans le même lien depuis 1795 jusqu'en 182S.
Eu 1795, Broughlon et Crosley, par 90 suites de distances lunaii
1802, llernicr, dans le voyage aux Terres Australes, 186 suites
t8oa, Flinders, 44 suites
1820, M. Sinionoir, dans le Voyage du capitaine Bellingshaus
1821, MM. Brisbane et llumker, u suites
<24, les ollleiers de la corvette In Coquille, 41
525, les offici <le l-e I (le M. le baron de Bougaii ,ille,
e de la Coquille,
148° 5i' 29" E.;
nt été observées
148° 48' 48" E.
148- 48. 32
148. 5i- 34
148. 49- 37,1
148. 53. 9,5
148. 5i. 29,1
148- 47- 53
Lcingiludc adoptée '48° 5c 9"E.
En outre des distances lunaires observées, en 1826, dans l'expédition de M. le baron de Bougainville, les montres mannes
ont été employées à la déterininalion de la longitude du fori Macquarie. Elles placent ce fort à l'E, du bout de la jetée de
Sourahaya, de 38° 28' 4o". Si, comme nous le verrons plus loin, le bout de la jetée de Sourabaya est par 110° 23' 3" E., le
fort Macqnaric sera par 148° 5i' 43"; ce qui s'accorde avec nos observations, et ne dificrc que de i' 34" de la longitude que
nous avons adoptée ci-dessus.
M. le baron de Zach, dans sa correspondance astronomique, tomes VIII, IX et X, et M. de Freyeinel, dans la partie navigation
du Voyage de iUranie, page 723, rapportent les longitudes déduites de divers phénomènes astronomiques observés à
Sydney el à "parramatta, par D. Jos. Espinosa, les gouverneurs Bligh et Brisbane, le capitaine Kijig et M. Rumker; mais les
différences qui existent entre elles ne nous permettent pas, quant à présent, de les admettre.
MANAVVA (Kt )b). Latitudes. 35' i5' 16",7; Longitude E. i?!' 5i' 6",5.
Six séries de hauteurs du soleil et d'étoiles placent le
>end de celle du Port-Jackson ramenée à l'aide de la m<
i de la plage Tangata-Muté par cette latitude. La longitude dén"
26.
de N. 5- ai- i5",a; Longitude E. i6tf- 4o'
Cette latitude, observée dans le havre de la Coquille, est déduite de huit séries de hauteurs c
la lon-ntude est le résultat de 55o distances lunaires.
DORERI ( som-EciE-GDiNKS ). Latitude S. 0° 5i' 49",8; Longitude E. i3i» 45' 6',g.
La latitude observée au fond du havre est déduite de cinq séries de hauteurs d'étoiles et du soleil. La longitude dépend à la
fois des longitudes de Oualan et de Sourabaya, ramenées à l'aide de la montre n" 26, employée avec ses marches diurnes
observées successivement dans les trois stations.
SOURABAYA ( 11 •»). Latitudes, r ' ; Longitude E. iio' 23' a",5.
Deux séries de hauteurs du soleil ont donné cette latitude, qui a été obset-vée
La longitude de Sourabaya a été obtenue par l'immersion de l'étoile x d u Lio
de Dentrecasteaux. Nous adoptons le résultat du deuxième calcul fait par M. 1'
le bout de la jetée occidentale de la rivière.
)bservée, le 11 avril 17941 dans l'expédition
de Rossel, qui place le milieu de la
P O S I T I O N S DES STATIONS PU CI P \ I.ES,
ville par
D'après un i)lan levé en 180;
toire de M. de Rossel, de
En conséquence, la longitude de notre observat<
r M, Tombe, ingénieur ft-ançais, le bc.ut <le la jetée cnI à i'O. rie l'obsi-rva.
de
ILE DE FRA-XCE. Latitude S, 1 r«tie!tiule K
La latitude est déduite de deux séries de hauteurs du soleil observées au Porl-Loi is, dans
ongitnde dépend de celle de Sourabaya ramenée au moyen de la montre n" 2(1.
"Nous pouvons vérifier celte longitude en anticipant sur les opérations de la campagne. I'
a même montre ayant été successivement réglée dans nos relàdies aux iles de Saiiitc-Uéli
: (imd (lu Trou-fan/amii, et la
I <-[îét. nous ve.
le et de l'A.sceii
rii. l'Asccnsi
iscrvées en iSy
mts ; n i e de Frauce à l'E, de Sainte-Hélène, de 63» 12 44"; Sainte-Héli
donc l'Ile de France est à l'E. de l'Ascension de 71° 54' i5"; mais 438 distances lutiairc
Sabine (i), ont fixe la longitude de notre observatoire dans l'Ile de L^sccnsion, par iG" 44' (>. La le
France serait donc de 55' 10' 8",5 E., ce qui ne diffî-re que de 39" de la longitude <|ue nous avons adoptée
l'Ile de France du méridien de Sourabaya.
Vingt-sept suites de distances lunaires observées par le capitaine Flinders, placent le Port-I.oiiis |)ar r,:
Horsburgh doime, pour le résultat de 70 observations de distances, 55° 8' 4<>" (aJOu
trmive dans les Mémoires de l'Académie de 1764 (3) un Mémoire de M. de l'Isle sur les lo.igiludes des
Madère, dans lequel ce savant s'exprime ainsi, en parlant de la longitude de l'Ile de l-rance : . ,ie crois lavo
« déterminée, en prenant le milieu entre vingt résultais que j'ai tirés de neuf obser
-ons plu^ ha. que
Jan, a donner les
m, de 8" 4«' 3r.
par le capilain.-
igiltKle de l'Ile df
:. faisant dépeii'lre
!) 37",
ü Fr! : et rie
'xactci
r les satellites de Jupiter dans l'Ile de Fra
mparé pour cela ces nenf iibs
« observations correspondantes ou approchantes faites dans différer
(c longitude à l'égard de Paris m'était assez bien connue. La diffe
« en est résultée, en prenant le milieu entre ces deux déterminatio
« J'ai aussi examitié ce qui résulterait des sept ol:
« par d'Après de Mannevillette, capitaine de vaisseau au ;
qni
ide entre celte île et Pa
La moyenne s'est trouvée,
•e les observations de d'Aj:
« Ainsi, en prenant un nouveau milieu entre
la longitude de l'Ile de France d'environ
en s'approchant un ])eu plus près des i-ésultati
Le but que se propose M. de l'Isle, dans la
n supposant la longitude de l'Ile de France
riroils dont j'
de longitude <
M. rabilé de La Cmlle a faili-s
5 de La Caiile, avec louies le»
lu avoir des observations, er dont la
rile de France, á l'égard de Paris, qui
ninations, s'est trouvée de
'ations des satellites de Jupiter, faites dans la
ice de la compagnie 3 des Indes, et j'en ai tiré 19
nêtneile en .76.,
•sultals pour la dif-
55- 5' 3o '.
s et celles <lc l'abbé de La Caille, on peut sujijio.seï-
55° 8 45" E.
rcs des observations de l'abbé de La Caille qi.e de ceux de d'Après. .
ite du Mémoire que nous citons, est de déterminer la loiigitmle de Madère,
nuue. Pour cela, il détermine la différence de méridiens entre ces deux
i d'éclipsés de satellites de Jijpiler, faites à Funçlial par Bory
observât!
mtrc Fundi
Ire Fimchal et l'Ile de Frai
moyenni
, détcr
îles, en comparant, les obs
faites à l'Ile de France par d'Après et l'abbé de La Caille. La comparai.son di
1753, immersion du t" satellite a-, observée à Madère le 28 décembre. Différer
I 754, immersion du i" satellite r , observée à Madère le 1" janvier. Différenc.
Diffi
dont Funcbal est à l'O. de l'Ile de France.
Mais au lieu d'en déduire la longitude de Madère, nous
mettant la longitude de Funchal telle qu'elle a été obtenue par les. observations les plus récentes.
En consultant plusieurs auteurs, tious voyons que Funchal a été placé à différentes époques ainsi qu'
En 1771, Verdun, Borda et Pingre, avec des montres mannes, mats en admettant que Ténériffe soit
nous l'avons supposé plus haut, ont trouvé
j Flinders, avec des dn-onomèti-cs
I Crosley, par 18 séries de distatices lunaires
i 8 o g , le capitaine Mae-Intosh, chronomètres
1810, le capitaine Ileywood, idem
1816, le master John To^vn, idem
i 8 a a , ,ir Tlion«. Brislianc, chronomètres
Le capitaine Edward Sabine rapporte, d;
753, aox oijservatioi
Ic.s résultais snivanti
I ITIe de France 74- p.C í¡6"
. 8 o t (/i)
r la nire de la terre (5),
74- 8-
de France, en adlit'.
i8- 3 Ï 3o', comme
19- i3' 3o-0.
tg. 14- 46
tç,. i5. 44
15. 10. 20
ig. II. so
tS. 2
•!)• 'S- 5o
'S- t?, =
19. 14. 56
lettre adressée à sir Humpljr^
(I) A,i Aocoimt to Espefimenfs to doterniino l
(a) Indili Dirmory. London, i8o5.
(3) .Mónioiros de r.Acndomic, ijSi, ]>age 5G5.
(4) Memoir Desoriptivo aod o\plnn.itoiy, cto.,
(5) An Acconot to Expeiiments to determino
,y .toiin Pnidj-, t^ondon, iSaô.
10 ligure ot tlie Earth, etc., in-.i*. London,