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de laq.üeue sont légèrement-marbrées d<y(blkii©&La>,fenLell'e est plus petite
que le mâle, et tout;ce.^èlTOl^iimWideVbl®nc, elle l’a dmndn fin temiuvl
plusâaMëlâiï^l®front* la gorge et le ventre que ^arT.t®tûfe,ailleiJrs;^];elspalîl%
e t lajquéuêitSë'îil^rrfënti^pWnoires^eomxn wdafisde^niaip, rruia eemou^st
ici moins Foncé, Un Vacant, Se qiii la distingue, ainsi qûej-tbutesdqsïfi^elîqs
:#êB] autres, oiseaux àttjuigjm-,queue,|^’est,que jamais elle niacquibtt.cesid&HX
ls f^ a ê é ^H & 0 '’effilées de lp quèi^.vjlqpdanti'’l%4r, le mâle percLaussi sa
t oukuwîbliridié et Ac.sj deux lungpes -plumi s r piend le plumage dê
la feniéllê'. .
L en ijl e a ^ p lb s à 1’extrémitésd.es branches, qpidonnentis.urlté^u-iUest
composé de différentes tigesidè plantesî-trresisquplesy revêtu oejmàu-ssè>,let
garnis intérieurement dè#brinsj très-déliés iqui,parpisseiit»d.èsà mcipessde
plantes-. Les oeufs., au nombre de cinq, sont,,d’un yef|,pâle poinîillé.,de
brun. Le mâle cqüve,,ainsi-qpë,la femelle, ejjlyfait entéij'drqitrèsssqujçept
un petit crifqùipn peut.exprimer par -tdiiric.,, t