ra 8 I I I S T O I R E N A T U R E L L E
qu eue semblable à celle de sa femelle ; sa; belle paupière bleue se rétrécit
aussi et se dégonfle de'sonCe qu’elle ne paroît presque plus: on le distingue
cependant encore par sa taille, sa buppe et la teinte d^Kbâfep'lumage qui
garde to.ujours e n éclat q u e n’a jamais cèlui-dellâ;-femelle. Dans’ son
jeune, âge le mâle ressemble tellement à la femelle, qu’il n’est pas possible
de l’en distinguer par son extérieur.
Gette espèce-est très-abondante-felong-de la côte-dedestf, depuis’ le
Duywenhock^QÙ ,j’ai commencé àq la reh eo n tre r,, jusque 'dans-leî-pays
des Caffres. Elle est aussi très-commune sdiîlesibords du-Sondag-et du
Swartçkop; «nais e n n e la trouve jamais dans. lesTenvirons -de la ville
dui.Gap-’i, •
Le Tcbrtrec nàtle et femelle se séparent rarement l’un de l’autre, même
pendant la saison des pluies ou:fhïyéhdu paysfflBfrêqnententdes 'foïèts,
habitent toujours-sjur les grands arbres, ne desGend’aijt'que très-rarement
sur les b p is ^ n s ’ôu-à terre. Les mâles sont tresjt[ae&Heaahtet«ébattent
aussitôt qu-’ils se rencontrent .ai. remarqué quelquefois cinq- ou Six
qui sepoûrsuivoîént à 1 a b le le s u n s des autres.;. e t cotamèi leurs l'OrigaîTès
plumes leur donnent beaucoup .de.-facilité pour s’atteindre-de loin fflriwp
M i par là q u ’ils j^Samehçent à sé prendre ; .et- âhs'sitô'tgque Ihm d’eux
rient son adversaire par la queue, il ne le quitte pas qu’il n’en aiiaeràehé
une plume &a tout au moins un moreëâu ; jfeisorte&qp’iL estjï&s-rare *dé
tue r de ces mâles sans trouver leurs queues,.ôu^ontjèrem.« ntîaiÆft liées
-ou mutilées. Les branches et les épines cou trelesquelles cette queuê&otta
continuellement, q uand l’oiseau vole à travers ’les arbres pour séislisir
■des monehesqu’il poursuit sans cesse, nè,<contribuent p is pèù."à-dégrader
aussi-ses longues plumes, auxquelles par fois-çnjne«trouve iplcts. qû.é<.Ms
tigçs, leurs-barbes -étant entièrement usées par le.
te r à cela que l’attitude droite de ces oiseaux, .quand iK souUpTidbëÇfjM’aii
■encore qu’éh;|es tirant posés sur une,bâàn^é^onïcassp,pK,sq'ùi-‘:ii)nj(ftu s
«es deux longues plumesqui étant pendantes, sont ordinàtremei^pMiées
p a rJe ^ lo n ab q u i toujours tend à baisser; ce qui me faisoit ao u jours
préférer de tirer ces oiseaux au vol, et à travers le corps’. ©n-voit,,par
là qu’il -n’est pas facüe de se procurer cette belle espîjkefe dans .uiiaéSat
p p fo it; aussi.de 104 mâles q u e j ’ai tués, je n ’en ai rapporté, q^Çïtej^Ejjùi
fussent entiers e t bien conservés.
L e n i^ q â e jk if o it représenter, planche 143, est y jp’erc£§^«éltij$dtt
Tcbitrec; je dis seulement qué-je le-,crois-, par la iaisbftlque n’ayant
pas~tné. moi-méine lé mâle o u 'Ia fémélle'cïS’Icêtfé esp’elë? süi^l^âÇrTBl
aie |l § i pas physiquement certain qu’il lui appartienne : cepeSdant-je le
-icffois,
D U ï-T fCH I T R £ H | | i'£g
trois payce que ipon brave Klaas m’étl!ââssiuré, et qtîe s’iljtfétoitpas un
tprofpnflet ■<a\ant ob enajeri ut moins clpil-il (idëjg, ( 1 \en d iq u c dm i
tdUi? <S& qtî’il* mb®âi^M|'avoir vü'p’cr ®sî? lui "qhilaans “ïïn de rib'sWours de
t^areEë-, découvrit, en. ïravjeçsarft un 'bois dé -rLiiMagys.l1' du pays-.des
Callrcs'S®* ni 1 qu il£m ipp ut 1, cujfav 1 mit uil^amigyu et|B ipiijïfëconuu
un male < t,1 uni ’It-mellt ’Tchitîei i?i<bpe-.i 1J1 < tm-.rlj!îia.<s' G est donc -au
|le tenioi^nigcmEfepl-fhdTc-'i t l)iuii'éj!Supa_1noii dtjp f p s n u a u t . q-fi&je
Sonuo.,çç.liid pour‘‘étr®(^mii ded'csriUçé.dj.qi.M'-imWqùi nous p trions l a ‘
il est remarquable pai sa lorniiin irlItTRp 1 onsoBmlnnt parfaitement, à
une petite i oine qu onVuspcndioit la pointe en liasa/i nirofenJorin l.uie
[deyileux In-onoh.es. Il a m t deu's p o n te s et iltuiij®largeurj'.daâs son
fpj^Sïg-rtooediamètre’, et dimtnuorafenseiE.ibk'ini-ii'ê'ili giossi 1 iki nu me
qu’il s’alongeoit,‘‘i^uiii^rrjrcm'-Sqmtlfcfjfqjioit aussi : sa longueur, en
Miuant s tu oiùjb'nro, c t(flE 0*biuL pmn < s, ^ d ^ s ix ls e n J e n ^
aieP lh sëro’i t □ m r la raison d’un pareil
ilid iP tiin l'anwibl n s que lës'tf ois\qîftarts énptorpissent asaé» inutiles et faits
en pàrdpêâÉP^IiiLsqii J ii<rrjj piinG \ t < lleiqiji,
‘ H » a\(lit p ist [ lus d £ îrtTi IfiAi'i sjd^furéfondi iu*,
rtfe-soi I eïqfte* tôùl ’’I^ J ë ste'ili^i^WiairJu niu^tan 1 iqn uuvüsspEjfroij^fip'de
illi 1s n fin ïh 3 îû ts d ^ fe 'tq ii tSihacmelipTi s "u,biisseil\ , qj.uois-'inL
iiiviïti ii^lç^cijrfôr^dfaiimineTftn'ifi^ls] l- 11 j,j .w j ^ p ^ ^ ^ h t ^ e u r td u m d
ciin'ifne uiatu ieMouilli 11 e.|i<*»iirinrfittiHi!i 11 f r;-11 nfé- ( n i j c r in l y i ,i i f r |{ V lè
iln|étpffi^&l>ètj^|pas
<1-11 Li 1 fin Airs. fl^la.is EengiSii wi.tra- pour fi/<s?llip|i<irter-
Nmj-dèlfmûbi mi'iru ,s< .(MÎqiirKfijls’oluxCt'ti oaillon .1e
Jj.Æi n^’nale-iji cLeui a l i li^îiiiyexat4 *Air^jia^ ^MjeeîMp ïeu u id ,1 dàusi
infti ntJS-. 1'