r
Ï . U Î . I 5 2 . PAPPOPHORUM POLYSTACHYUM , variolas.
Crescit cum proocedeote.
Culmus ramosus, tenuis, rigidiis, stiialus, glaber , adjectis paniculis sesquipedalis; internodlis
tcretiusculis, interae planisj nodis imberbibus. Folia anguste linearía, marginibus involutis
subaialo -setacea, rigida, nervoso-striata, externe glabra, interne scabriuscula, quadrivel
sexpoUicaria. Vagina: usque ad basim fiss®, nervoso-stnata, glabraj^ inlei'nodiis miiJlo
breviores, tardius so]uta^. Ligula margo angustissimus, sericeo-villosus. Panícula; in apice ramoruru
solitari», erecta;, simplices, depauperai«, angustaj, spicffiformes, tri-vcl quad ri poll icares;
ramis sparsis, adpressis, angulatis, scabriusculisj rhaclii ieviter flcxuosa, glabriuscula.
Spiculaj sessiles, terminalis cujuslibet rami pediceUata, simillimas iis speciminuni mox desci-iptonun,
nisi glumaa panim laüores et flos secundus intei'dum heimaph rodi tus.
a l ' i
Parmi les nombreux échantillons du Pappophorum macrotstachyum varíelas |3, déposés à
l'herbier royal, il s'en trouve un certaiu nombre à tige rameuse, moins élevée; à feiùUespli\s
étroites j à paoicules simples et très grêles. J'ignore s'il faut attribuer ces différences à un étal
maladif de la plante, ou bien à ce que ces exemplaii-es auraient été recueillis dans une localité
peu favorable à leur développement ; mais je pense que ces caractères méritent de fixer l'attention
des botanistes, ne fut-ce que pour empêcher ceux qui verraient des échantillons semblables d'en
faire une espèce distincte. La structure des parties de la fructification est absolument k même
que dans l'espèce décrite, à l'exception des glumes qui sont un peu plus larges, En outre, la seconde
ûeui- se transforme quelquefois en une ilem' complète.
F T
ILLÎ.'^
^ ' «Ì
I L Î
t
lit if
K ' Î
- 1 „ .1