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dpus ; peu de pérémomesont lien dons la pagode morne ; c’est généralement eu plein air, au grand soleil, que se ddploje tqpt leur luxe, et, peur concourir à la splendeur des fêtes, les bayadères sont indispensables- 1 ai déjà parlé de la bayadère dans le ehap. JX , mais je dois ajouter que les bayadères de Suroie passent pour être pe qu’il y a de plus délirant dans je genre; elles sont attachées aux pagodes riches et fréquentées, et lps brahmes leqr donnent la préférence par la double raison de lenr indipjble souplesse et du plus grand produit de leurs recettes- EtJes sont çonsaerées à fiïmUum. et aux brahmes, et les plus belles Indiennes recherchent cette profession qui consiste à danser, chanter et plaire ; elles font des prodiges pour y réu§sjr et se rendent à toute réquisition pour se jiyrer à leurs pantomimes lascives et aux tourbillons vertigineux de leurs danses qui, infailliblement, -vqus séduisent ou vous énervent- Elles sont toujours accompagnées d’un musicien. Généralement âgé on snffisamment laid, qui marque 0ja" "*m e* sure avecü deux espèc' es de cymbales d airai.n, étroites et épaisses il). Pour attirer plus facilement de nombreuses reciuos dans les légions de bayadères, les brahmes ont fait admettre de fout temps que l'ancienne bayadère, la bayu- dère retirée, a droit de reparaître avec honneur dans la société, et ils ont fini par persuader aux Indiens qu’il y avait grand honneur à l’épouser. 1) Cet instrument §:aflpellp Km- Les Indiens musulmans ont aussi lepr grande fête, mais elle porte un cachet plus sévère et s’accommoderait mal des bacchanales de Kalv. Le Mohorrum est une fête très:vénépée PaF rpusu}roaus de la secte d’4 ly ; elle a lieu le 8 aoûf de chaque année; on s*y prépare par des jeûnes sévères, èt à cette occasion sor lennelle on fait puhliqnement le récif de la mort héroïque de Houssein, dernier fils d’My. Qn prie, on vante la gloire dn héros, on s’exalte, on s’excite à la vengeance. Le musulman fanatique porte toujours un levain de vengeance dans le cqeur, et c’est par le moyen des pratiques religieuses que dans ces natures alors surexcitées se fait le développement d’une haine concentrée pouvant s’élever avec une effrayante rapidité au paroxysme de i’extrême fureur, Nous ne voulons pas pousser plus loin la description des fêtes religieuses dans l’Inde ; nous avons parlé des plqs célèbres, mais il est impossible de terminer un chapitre snr la religion indpue et sur les castes sans mentionner la secrète pensée qui se manifeste sans cesse chez l’Indien et qui pèse sur chaque instant de sa vie: il veut savoir ep que l’homme devient après la mort- Après bien des hésitations depuis longtemps dissipées, il admet la métempsycose. Biahma enseigne que le juste en mourant ya rejoindre l’Être suprême, mais que le méchant doit recommencer son temps d?expiation et qn?il renaît dans un animal, un oiseau, un poisson, etc- Gtesfpar crainle d’une semblable métamorphose que la veuve indienne se déterminait à sacrifier sa vie en se brûlant snr le


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