« vrai broyant de quelque culte qü’il soit; il estl’in- « time du Musulman; l’ami de l’Iudiéii, le eompagttdh « du Chrétien et le confident dit Juif: $ Dans quelle religion vit-dtl moins1 d’âbgdliitisiiifi fit plus de tolérance? Puis encore : « Bfalimà est présent à chaque pàrtië « de l’espace; il fist titi; sa science ëst infihlé; sbii <( génie sans borhe ; il est aimable; il ii’y à {iBtlb lili « ni présent; ni passé; ni htttlr.* >i Brahma engendra de sa bouche la sàgfiSsë bü le brahme dont la fonction est de prier; de lire, d’iii- sti'uirë ; de son btasj là fottë bh lfi giiëfriëi- fit lë sdii- verain qui doivent combattre; dë Son trdnb; là iloürri- ture ou l’agriciilture et le commerçant; dë sfis pieds; l’artisan; l’eselavè; etc; Vüilà dodc la divisibfi des hommes eh qdatre caStes. Cette division, tdüte politique, se subdivisa plus tard; et l’on compte des Câstfis à l’infini. La religion de Brahma; assex simple à son origine; est divisée aujourd’hui en quatre-vingt-trois SeCtëS qui se rapprochent sur plusieurs points fit ne sbîit jamais en hostilité. Pour l’Indien; le Tout-Puissant^ c’est le créateur de tout, immerisité lui-mêthe: Les attributs dù ToüfiPüis- sant sont de créer ; conserUet et détruire ; dë là fiaiSSfint des attributions différentes qui sont le propre dë Brahma, Vischnou, Schiïïa. ToUtës les sectes reconnaissent cette trinité dans lë Tdüt-PUissànt, qüi reste Un. UnitaS in trinitatè* Et trinitas in unitate. Us reconnaissent le génie du mal, Satan, sous le nom de Moissassour, chef des rebelles, exclu de la présence de Para-Brahma, le Dieu préexistant. Que les uns vouent un culte plus particulier à Brahma; à Vischnou, à Schiva, peu importe; c’est un seul Dieu en trois personnes. Qu’y a-t-il donc d’extraordinaire dans cette religion? Et les meilleures n’y ont-elle pas abondamment puisé? Les bouddhistes, dissidents de la religion mère, adorent Bouddha (1 ); mais Bouddha n’est représenté par ses adeptes qu’à titre d’incarnation, d'avatar, de Vischnou. L’avatar ou l’incarnation, c’est l’apparition des divinités quand elles communiquent avec les hommes ; c’est la forme choisie par elles pour descendre sur terre ; c’est l’instrument de la volonté. Depuis fort longtemps il existe dans la Perse, dans l’Arménie et dans la Syrie, une secte de la religion de Brahma qui adore la Divinité dans l’incarnation du Christ. C’est l’avatar du Christ prêché par saint Thomas dans l’Orient, dès l’année cinquante et unième. Depuis qu’il s’est formé différentes sectes, les peuples de l’Inde se sont attachés à des divinités de second ordre, et l’on a vu les uns adorët ce qu’ils admiraiëùt, (1) 11 est regardé comme divihité de second ordre; son noili est donrlé d Une étoilé; et plusieurs ne le regardent que eomme chef dé secté; Nous retrouverons cette religion aü~nord du Bengale.
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