SU R L E HAUT—ZAMB E ZE . en moi la voix de la prudence. Ce tumulq u e l q u e peu à penser. Bientôt ces^oimn he fîèrement : « Qui 1UeUæT l ^ « « Î e ^ vous faut payer ; voyons,: qu’avez-vous vous a donne droitde p » 9 ^ ^ de contusion qu’on peut aiséclans vos .wagons . t.. à aoaiser nos visiteurs importuns, à les ment -s’imaginer." Je. parvins pourtant a apmn*nos | g | g aycc r n ïW x 'm m 1W Ê W Ê È Ê Ê Ê - “ “ 1 “ DieU<ÎUe 16 d°m' mage était bien moins sérieux que je ne ° d guides nous avaient Pendant: que nous étions au travail, no ^ Uterie> couverquittés, et je m’aperçus qu 1 s nous av " laquelle nous comptures, vêtements, haches,; voire meme la nournture sur laq ^ 'ÆÈS^mÊÊBSBKÊ attaqueront-ils de uoAJ » » ^ de nos chiens (o„ nous en ^ t SdonnéTennoûveaux à ^ main.malin, nous; erojmnt mlinmles, es om ^ , [ urs arômes ’^ • ^ ‘r t ' ^ V S S t ï î i w S X * * i - M. Stech nous reçut avec cordialité. entièrement abîmée, arriver. Un des wagons des cat ch,s es arriver à la piteuse mine , plusieurs ue saison ou la es/sujets d’action^de | | g en sant, Il ta„„t, f i e v r e .sevit sans pitié, n „i„11Pe innrs et envoyer le wagon devenu pourtant, nous séparer pendant quelques j a/ besoin ie métier de ^ B Ê Ê S S È B Ê k U*«®fondrière?’ <roù nous SUR LE HAUT - Z A M BÈ ZE.
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