/ SU R LE HAU T—ZAMB E ZE . , • s. existait mais Cette antipathie, je savais qu elle existaieit ,n ’avmaaisis aucunje idée qu’elle fût si profonde. , , 7,ambèze, et nos Nos regards » g g S e , die . ce.» amis de Mangouato, K am P pomme tribu leur intluence, dit-on, a laissé ses empreinte . anciens maftres et parlent leur langue, c estont adopté les manières d ^ d;ffic{le d,exagérer. Je à-dire le sessoato. Ce: sont là | | | ^ ^ ma_Kololo risque de préven’ignore pas que la pa hfcfifeâ Mais les ba-Rotsi ont vu Livingsnir les ba-Rotsi un missionnalre eurotone et ont entendu par er es mi dp nQS catéchistes indigènes m IH -is I p,us que pour aller d’ici chez les ba-Nyaï, ét peut-êt«: morns.^ ^ ^ ^ ^ ^ La grande, (Jran(‘ e ° \ " Jen effet> c’est là un sérieux obstacle pour pays-la est un pays de fi • > rpssources et pauvre en hommes. Le une société comme la nôtre, p a u v r e en re o r es et p » ^ p. ,o de. b . - » , - . . . M . *” ¿ 7 ; “ ” J X i ' , . ,N „ . cherché le. nous n aurions cependar t p reste vous ne l’ignorez pas, la fièvre règne sites les plus recommandables. coeur de l’Afrique. C’est une partout depuis le nord du Tran|™ 1 i le pays des ba-Mangouato a question du plus au moins 9 marchands n’osaient pas été si bien regardé comme un nidde^fièvres, q ^ ^ ^ en résidence y passer plus d’une saison m ■ | peut H en H d’insalupermanente. Le lac garni « traverser pour s’y rendre est devenu tnsbrité, et le désert affreux 9 ^ ^ Helmore en i859, et cependant voilà r l t n - m e l nôtre qui s’y de la Société ^ ^ Z % d T Z Z i s s i o n , mais simplement d’explorer, bat maintenant n f { ieu nous ramène en santé, nous vous dirons - * - de décider ce que nous pourrons ^Nous pensons partir dans ■ ■ ■ ■ mon conducteur. Nous laissons toutes les ^ ête son con. sous les soins de nos amis Hepburn Le chef Khama P | chef cours; ü nous a procuré deux guides, et a envoyé a B » I des natifs du Leasouto, dans laa environs de Léribé, qui M M vers ,e n0ril quel,” e temps avant IWvée de nos m.ss.onnaues. des ba-Rotsi pour lui annoncer notre arrivée et nous recommander à ses soins. C’est un moment bien solennel pour nous, chers amis ; nous ne pouvons, en nous regardant les uns les autres, nous empêcher de nous demander : « Qui de nous reviendra? a Nous entrevoyons des difficultés et des épreuves qui nous font trembler. Mais la sympathie et les prières des Églises, le sentiment du devoir, et surtout l’approbation de notre divin Maître nous soutiendront comme par le passé.
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