i M H W Khama surtout q m a evangélisé ses gens. L p d 9 . beau que de I ^ B B *• « On §¡§1 au milieu de la tion. On était au mmeu uo moisson : c• eplelTn_d aonctc, pamuh jloéeu ra nux’oen, a évxa luée a heures du matin, s’était réunie en plein an- une assemblée qu on pendue à leurss lèvres .J e ne p a en comblant les lacunes. M. Hep- bum n o ï s Z r e l de bonnes p r o ie s debienvemie j’aurais voulu que vous e“ “ ^ 1 vérité’ auprès des païens, et celle du plein de force, plaider 1 chrétiens. C’est une chose étrange que, ■ 1 H h | 1 | H du séchouana qui nous sont connus, celui tandis que de . tous les üi sessouto, le sémangouato H .voir joui p » ! « ■ 1 Het no sH g' penbsu ,rda,nsT les , cxnamxme. s“ q o” u.1 ï » ' •>«<“ - publiqueB oe1t comi n H m z z t"Jg mune que nous avons menée pendant treize diusion - 1 p , ï , t Î I — ‘ p i raisons, fa i « « * 1 - A vrai dire, je puis à peine leur en-vodmr.^ ^ ^ indirectement la mort deCMeStArlousseetS Voilà donc un géant I j j l B T 'e u <1- » * " * fraPPé Ch6Z M. Arbousset, c’est le courage et le tact avec lequel il savait saisir chaque occasion de jeter un grain de la bonne semence. Il y avait chez lui une fraîcheur étonnante, qui le rendait toujours égal à lui-même, soit qu’il parlât à un chef influent, soit qu’il s’adressât à des enfants. Comme homme, son caractère original est bien connu et on se racontera longtemps une foule d’histoires qui le mettent en relief. Les lettres du Comité nous ont fait du bien en nous assurant de la sympathie et des prières des amis de la mission. Un sujet de tristesse pour nous a été ce que vous nous dites du déficit qui pèse encore sur la Société. Un déficit de 60,000 fr., dites-vous ! J’en infère donc qu’il faut absolument viser à l’économie. Du Lessouto aussi, on nous dit qu’il y a famine; nouvelle leçon d’économie. Cela m’a valu des nuits d’insomnie. Hélas ! nous sommes mal tombés pour l’économie. D’abord, nos gens sont fatigués, et je ne sais comment restreindre les dépenses. Il y a un an, la chose eût été plus facile. Et puis les denrées ici sont à des prix fabuleux. Ainsi la farine non tamisée, et souvent avariée ou falsifiée, se vend 143 fr. 75 c. le sac; le café, 3 fr. 10 c. la livre; le sucre, 1 fr. 85 c. la livre; les pommes de terre, les oignons, 87 fr. 5o c. le sac; le sorgho, 62 fr. 5o c. ; une vache ordinaire représente la valeur de a5o francs. Et tout le reste en proportion. Les légumes sont un luxe dont nous pouvons nous dispenser; mais on ne peut pas vivre sans pain. Nos voitures aussi, quoi que nous fassions, où que nous allions, doivent nécessairement être réparées. Tout cela, je le répète, me donne le cauchemar; je me trouve entre l’enclume et le marteau. Je demande à Dieu sagesse et fidélité, afin que d’un côté notre caravane n’ait pas lieu de murmurer, et que de l’autre nous ne soyons pas une charge trop lourde pour les Églises. 8 juin 1878. Depuis que j’ai commencé cette lettre, j ’ai dû, moi aussi, payer mon tribut à la fièvre du pays. Je me sens bien secoué et bien faible. Il faut pourtant que je vous dise quelque chose de nos plans. Il vous souvient que nous n a- vions que deux alternatives devant nous : aller chez Mozila, ou au Zambèze. C’est une question que nous avons pesée devant Dieu, et nous avons toujours attendu (jusqu’à ce moment en vain) quelque lumière du Lessouto. Après mûres réflexions nous renonçâmes a aller chez Mozila, d abord a cause du prétexte dont Lobengoula s’est servi pour expulser ignominieusement nos ba-Souto de son pays, ensuite à cause de l’ignorance où nous sommes de la nature des rapports politiques de Lobengoula avec Mozila ; enfin et surtout à cause de l’antipathie invétérée qui existe entre les ma-Tébélé et les ba-Souto. « 6 HAUT-ZAMBEZE.
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