E SR.A, ì j R .IrC>.p E. " 5)5 ques indices au leçteur. L a dénomination,de ^ n g e -H a h - V« j K ; ( oiseau à cou de serpent ) que ffies. Hottentots, ¿tonnèrent à l’an- hinga, le caractérise d’une manière bien snùple^et bien vraie. .Buffon, qui a également été frappé de, cette conformation çarticulièredes .oiseapx de (¿.genre,! noué le s a peint, d’un'seul ttalf.« L’anhm- fcga (lit-il1 nous offre un: reptile anté sur le corps, d’un oiseau ». En e&et, il n’est personne* qui, en appercevant seulement k tête et le COU d’un, ajihinga, .^ont .le re^te du . corps est caché dans le feuillage de. l’arbre où il s’estperçb^, ne le prenne .pour un de ces serpens grimpanç. aux arbres, j , et la méprisq est ¿ ’autant plus,; facile 'que tous ses mpuvemèns tortilleuxprêtent^singulièrementà.l’illusion. Soit qué l’anhinga se perche, ’¿oit ^u’i^nage.pu qu’il vole,U est certain que la partie, la plus apparente et la. pÎus.iemarquable, de son corps, est’ toujours! son long cou grêle, continuellement en. oscillation y dans le vol seul, immobile et tendu,, il forme avec lu q^çue unç.ligne hçiisoiinile tres-droite. ,,,f . .J; ,.j .La vraie place que la nature semble avoir assignée aux anhingas , dans,iaulassp.noiribreuse des.palmipedes, est précisément entre les cormqrans..et;iles,grebes ;, ils participent, en effet ^galepient de ces deux genres d ’oiseaux, ayant fe bec droit et effile , et le coq. alonge de çes,4eiçnieii;s, pendant qu’ils tiennent, i r a premiers par, la. çoiifor- mitédes pied? dont Jes quatre doigts sont .réunis par'une membrane 5 ils participent encore du commrau par le vol, ayant'comme, lui les aîle,s plus grandes et plus propres à cette fonction que lesjgielies, qui les ont foibics et courtes. La qpejie des’ anliiugas est trèsdongue ; caractère • bien singulier et bien rèjnarquablè dans un oiseau d eau, et. qui parptffoit deyoir les .éloigne^ total ement. 3çs oiseaujx plqur geur?! qui[ ndntprdipairetneni. ¡¡¡§| ou ppinf de queup * lisse rapprochent ciçnç^encpre par „là des^carmprans (i>; car, malgré,' q u e .cgs.dernievS’ .Î’ ^yent p lu s cou rte , le u r s^ u e u e sU p t ,p o u r tan t beaucoup, d ’ana iqgie entre e ï ï e s , en ce rqne,,Ies p en n e s sont , - 9 (ffll y -a É»âQHS$*S èsp^ces, de.KOrmoraçs,. dent B“e a la, queue^ presque aussiclongue'<ju’^itfÇÆPçr^ç r y#*!)’’ ‘ : / i .
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