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Aio«xoupio7iç. Aitov yjxw. EXeç rixco. npdôuu.oç rxco. Jatyoç (?) ■fixco. AyaGoxXéa. ÀyaGoxXi). 2(ocnç-paTÎou. ÀyaGoxXsouç. î$ouu.aioç. ÎX ôe. D’autres Iduméens y ont écrit leurs noms, probablement à la même époque; ce sont : Kooêapaxoç (?) puis........ MaXfyou (i). Kparepoç. MoupLaïoç. et SupLpia^oç. l^ouaaîoç. On lit dans une autre : Ttêeptoç KXau^toç ïçpoç toïç Geoîç âiré&wxe Guciav. «Tibere « Claude a fait un sacrifice aux dieux [adorés dans ce sanctuaire].» On pourrait à la rigueur lire : irpoç toîç Geoïç, et entendre ici xpôç dans le sens de icapà, si fréquemment employé dans ces sortes de locutions •jrpo<Txuvv)(/.a irapà tw Geôi stïtooic e . Mais il manque un nom après Tibère ùlaude/ je ne doute pas que M. Pacho n’ait passé deux lettres, et qu’il faille lire : Icrpoç. PL. LXV. Inscriptions sans intérêt, ne renfermant que des noms propres. Lë N° 3 est un fragment de dédicace romaine; on y distingue PONT. MAX. TR1B. [POTEST.] Le N° 9 seul mérite quelque attention. KaXo Tuyvi. L. N. à la bonne fortune. L ’an l v . ( xaXvi jpftà, pour ayaGvi zuyji. Iïupau.aî'oç Ilupaptatou, Pyramee, fils de Pyramée. Ixîve xaXoxayaOè 2éxov£e...... Adieu, vertueux Ilinus secondas. I La même un peu plus haut. ÀpiçoTfiXijç 2<6<Jtoç lapeùç ÀttiîXXcùvoç • [r/iGeva èvriGv). (i). C’est le Malchus syriaque; l’autre nom est-il dans le même cas? DE LA CYRÉNAÏQUE. 397 «Aristote, fils de Sosis, prêtre d’Apollon. Qu’on ne mette persoune « [dans ce tombeau]. » La formule piGéva èvriGn est elliptique : il faut entendre sans doute la défense, si souvent répétée, d’enterrer dans le tombeau une autre personne qu’Aristote fils de Sosis. TAPEY2 doit être IAPEY2 pour IEPEY2, dorisme, comme iapàç pour iep&ç dans les tables d’Héraclée, et iapwv pour lépwv dans l’inscription du Casque trouvé à Olympie. PL. LXVI. Noms propres. P T O L É M A I S . PL. LXXIII. Cette inscription qui commence par ces mots : AÙToxpaTwp Kaîcap Àvaçaoioç àvixyjtoç ceêaoToç AuyoucToç (i), est un rescript de 1 empereur Anastase relatif au service militaire. Ce rescript mérite d’occuper les loisirs d’un philologue exercé : mais la restitution en est bien difficile. ( voir le voyage, page 178.) PL. LXXIV. Il n’y a sur cette planche que trois inscriptions qui offrent de l’intérêt et méritent quelque attention. Les deux premières sont intéressantes surtout par la place qu’elles occupent. En effet, les pierres sur lesquelles elles sont gravées font partie du soubassement d’un temple; l’une d’elles est même dans une situation renversée, et même tronquée, pour donner à la pierre les dimensions dont on avait besoin. Il est évident que ces pierres ont servi comme matériaux dans la construction de l’édifice. Avant de connaître cette particularité , et à la seule vue du dessin représentant les ruines de ce temple ( Pl. LXVIII. ) j ’avais dit à M. Pacho que cet édifice n’était pas antérieur à la domination romaine. La présence de ces inscriptions met le fait hors de doute, comme on va le voir. (1) Sur la réunion des mots oeêaariç et Aflyov<rroç, voyez ce ‘que j ’ai dit dans l’analyse des Inscriptions de Vidua, p. 8.


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