qu’il avait, chaque année, de gros boutons, autant que je puis me le rappeler» Il les a aux jambes ce qui l ’oblige à garder le lit et la chambre, pendant quinze jours au moins. Je me rappelle avoir entendu dire que la femme de M. de B... avait eu le corps couvert de boutons. CHAPITRE IX NOTES SUR LA LÈPRE I QU E LQUE S NO T E S SUR LA L È P R E EN GÉNÉ RAL J érusalem, jui l let 1862. A Jérusalem, viennent les lépreux des villages, environnants. Pour avoir une maison à eux, ils doivent donner environ 400 piastres. S’ils n’ont rien, on ne les repousse pas, mais ils doivent habiter deux ensemble. Les lépreux ont un cheik ou chef, le dernier mort a eu pour successeur un ancien lépreux; le cheik décide des questions importantes. Les lépreux vivent en société, et ils mettent en commun le produit des aumônes qu’ils reçoivent, ils vont à l ’affût des aumônes. En général ils se divisent en deux bandes : l’une, la plus considérable, se met sur la'route de Jaffa, au point où la route ^e divise
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