DE LA P E T r aM Â ) 'É ÏT T E J lfÈ É tE itteU S S E . ii&i
LA PETITE ALOLMili’E A TETE IU045SSI&
N °- 199-
J e n’ai tué qu’un seul individu espèce f k plus petite
^ W S s .Mb/jiu,»>4, M.j rn I
|Ëi^)fa^;!âaî} J- Ij -t u
cendrille se rappeme assez, à quelques légères différences près, à l’espèce
dont je fais le sujet de cet article. Elle fait aujourd’hui partie de k
riche collection de !M. Temminck, à Amsterdam , à qui je l’ai donnée,
quoiqu’elle fût unique dans la mienne ; mais j’avois trop d’obligations
je rapportas. Aussi peut-on voir dans ce cabinet l ' rJljtV
®*J>‘ i 11 eîruT'j ffi'rï
J ai tue la petite Alouette à tête rousse dans les plaines qui avoisinent
1 embouchure de la rivière Gamtoos. Elle est dans son volume à-peu-près
le
* de celui de notre moineau
BWffiWiliHïitMSiii^ii^i nfTrwn^'irElFt^^v^^^ ^ alouette nW it donc
pas la calotte rousse bordée de blanc, ni les grandes penne!S alaires noires
cendrille de Buffon, si toutefois le dessin H P H a vu ce naturaliste étoit
k b b h S ’#
Alnu.-n^a l< [<|~r.>u
et lm f i^ ,,i^ p i , , , u , n ir^ k n um É , <$§ffiV!$nÂ
K p f f l » tem udi sui'i ,
L.ipftt1.- A&m.ll. (ITnfi t f f f c
|f ^ l ÿ t r ô { t | l e ^ u x : Li»-if posténeffi;,H M M I I maia
T om e i p l V " ' q c