HÏSTOIR E N A T U I E t L E' ,
ntinçlle se perche très-souvent ; aussi p e u t-o n fadlirèient
ii ses ongles p ostérieurs, lo in d’être. d ro its , sont a u contraire
e t même excessivement g ra n d s , puisque l a 1 ëéifdé de leur
Sfùrij, équivaut a u m o in s.à la lo n g u eu r du tarse , quoique celui-ei
ouvera l’Alouette sentinelle su r to u te la côte de l’e st, depuis le
Bonne-Espérance jusque dans la Cai&erie. J e jtte Eai p o in t vue
de l'ouest-, nulle p a r i , p a ssé la iavière’dësElép h an s. ïÿ le c o n s tru it
tu pied des buissons et souvent dans le tailien d u buisson i ce
b rin s d é fié s ;e s t revêtu de racines faibles en dedans,
e est d e trois .à. q uatre oeufs bleuâtres ,: ce&riwW'ide taches d ’u n
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