a & a a r a a a a s a a a . ¿R e p e a t .
OPHIDIENS.
FAMILLE DES SERPENS NUS.
9t. 36 ter.
GENRE CÉCILIE. Coeeilia. Lin.
S i ' . ** ^'B***—SÎPHOWOPS m m « . Siphon», mexvanu,. uumer u et
b i b e r o n . E rpe tol . generale. t . v t t t , p. a84.
C e » P k .moM. q a e nous avons fuit figurer d'après u n individu du Musée d'Histoire
n a t u r e l l e île ta. a beaucoup de rapport avec la C î™ et " '"""»/><«. é o i l i e a n u e l é e , Cmcilia annulala CDVIER. E l l e eu diffère par le Lombr e d e . pli. annulaires
d o n t on peut compter ici plus de 160.
Fig. t b. La téte e t les p remier s anneaux vus eu dessus.
''!«• 1 J Les derniers amieaux vos du c i t é inférieur; l'anus est en
» ~ V L . L, " n e a ° ' t i e ™ l " r ' i e antérieure du corps, vus en dessus et dénudés des
m u c o s i t é s epidermiqoes.
* Anneaux de la par t i e antérieure du eor M vus en dessous.
*>g. i / . Auneaux de la partie postérieure du corps vus de même eu dessous. Les sillons
q n i les séparent mont rent nue série d e petits corps ronds qui paraissent glanduleux.
* " e t l e , représentent la tète osseuse de la Cécilie lombricoïde? vue en des-
„ Ct , V' « " <"" é t é PoWiée. dans la deuxième édition du
p r e s e u t ouvrage (pl. V I I I , fig. i , a et 3).
n i î T J Ï Ï Î Ï ' i ' T a " i"l;i™ï>i!l».ii « ta n.ieai« lé.ui. , — S, S. Les merfll.ira. J U S
™ , l lorb,l, n pe l i l t t . i i (i l pour I oit. — e. Le frouuj uni ,». . _ i , U. k n l . m ,„,<-
condvîei fc'liiAk.11 i , occipi.il supérieur. — g, fi. Lis fronlsus poiléiieurs. — t . *. Le*
M. Curier, d o n t nous veuoM de faire connaître lés déterminations, n e le. donne
u T i * ÎV"",'- ! 8° e animal, tom. m , p. 4 a 9 e t 4 3 o , édlt. de i83o.) Voir, pour
p l u s d e détails, le texte d e cet ouvrage. .
La 3 mont r e la l a n g u e , l'intérieur de la cavité buccal e et d u commencement de l'oesop
h a g e d e la• Cto'u u vent r e b lanc. UJig. 4 représent e les mêmes parties dans la Cécilie
gmuneiiee. Les dilfcrences qu'on y observe semblent justifier la séparation de ces deux
e s p « ; e s en deux sous-genres. La première espèce est une Cécilie propre, et la seconde plénum. L a langue de la Cécilie à ventre blanc a deux proéminences dans sa partie
l a pins avancee qui résultent de son rapport avec les orifices internes des nar ines. Ces
p r o é m i n e n c e s viennent de ce q u e la langue ae m o u l e , après 1. m o r t , dans les Irons des
n a r i n e s internes. La position de ces trous, indiquée dans la Cécilie à ventre blanc p a r
c e l l e des p roemmences de la langue, montre que ,dans cette espèce, les orifices internes
j i e s nanne» ne sont pas en ar r ière, ainsi qne cela est exprimé dans le t ext e , p o u r tontes
l e s (.ecilies. L os hyoïde a trois paires d'anneaux déjà signalés par M. Cuvier, en i8aq,
u a m le texte d e cet ouvrage, comme indiquant des b ranchies dans le j e u n e i e e . L'orin
c e de la glotte se voit dan. l'angle rentrant de la dernière paire. Ce. deux figure,
s o n t copiées dun mémoire de M. Duvernoy, ayant pour titre : Fragment sur Vorganïsaiwn
des Serpens ( Annale, des Sciences naturelle,, L xxx, pl. i3 , fig. 7 ct 8).
L e s fig. 5 et 6 sont les écailles de deux espèces d e Cccilies, telles qu'on les découvre en
s o u l e v a n t le bor d postérieur de chaque anneau. Elles y sont implantées par leur bord
• i n t é r i e u r , l e postérieur restant libre. Il y en a ordinairement plusieurs rangs, soit disp
o s e s en quinconce et imbriqués, comme dans la Cécilie a ventre blanc, <oit autrement.
I V o i r ¡¿rpelclagte générale d e MM. Duméril et Biberon, p l . 8 3 , fig. 3 e t 4 a.)
r • '.ff"'"°U!
E ' ° s i ™ r s écailles de la Cécilie i ventre blanc, d e grandeur naturelle.
, ? e.cailles s o n t sur p lus ieur s rangs, p o u r c h a q u e annean, et se r e c o u v r e n t c omme des tuiles
1 r a a eSt D D e ces écailles grossie d e troi s diamètres.
t n r e l l e P1 " ™ 1 " " «cailles de la Cécilie mexicaine, également de grandeur na-
L a f i g . 6 a représente une d e ces écailles grossie d e cinq diamètres.
U n peut t rouver d an. la forme , la s t ructure, la propor t ion ct l 'ar rangement de ces écailles,
s u i v a n t les cspeces , des différences spéci f iques très p rononcées . Ces écailles ont été dess
i n e e s d après natur e par M. de Quatrefagcs.
7 montre les viscères de la Coeeilia interrupta, Cuv. Siphonops annulants, WAGL.
1 , e s t J a ner icarde; 2, l e vent r icul o i 3, l a port ion droite de l'oreillette, 4, la portion can-
I 1 ' ! . P' « é dans nn enfoncement de ces deux por t ions ,qui semblent
i n d i q u e r extérieurement nue division de l'oreillette en deu>, Rien de semblable n e se
v o i t a la paroi supérieure de cette même poche, qui est continue et unique de ce côlé.
e x t é r i e u r e m e n t comme a l'intérieur.
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