^proiluïl .que du- s e ig le , des simples
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Pila, de deux Relies- deiârge' et.cl’autant d^<mg^«fqui 1
y e t des sapins. L a Gière y prend sd ® ( e ,
N ° . 5p. J€u%- dïû\cloitëë: N h r eÊ ^ .m e rd i^ fls le . J ; *
N g tredD ame-He-1%1 e est un resté wd’uq *fo onastèr'e, établi* à onq»’dêmi-h’qùe>,de tienne, «
§g§ pii leiitein: .TOr|fb’j|^ç|&çd'ç'1; mpr
r^ul^C;d&|i:oïdye^e^^^bum, fufv réur^
■ dans le -siècle dernier au .collège dés Jésuites de .yierinc.-Depuis la jl^ss'pkati^n■ de ccs religieux, cet
’endroit j i l forme un carré" parfait,
• ploïtft chaque face est formée d^>^c4ârceaux^ réguliers, soutenus chacun par de colonnes
de marbre blanc, diversement dccoiées qjAd’un travail délicat, digne de figUtêr ^ eC les beaux
- restes d’antiquités -romainqs^uui^^^M’ même .Ville.
N °. 49. Vue d 'u n obélisque In m p a r les Romains | ap p elé ' Aigu ille.
C ’est fe ïiom que l ’on donne à une pyramide1 qu’on broute & §0 è$AS de Vienne , hors de Ta porte'
et sui la îoutc d’Avignotr. Ell.e est poitée sui mge'Yoikc cd u é e , élevée ^^vingt-qu atre pieds et
soutenue par quatre pilhers, entre lesquels ©n* yd'fcS^pa%’é'-pdrtes cehurccs, une à chaque face ; le
dessous de la voûte foi me une espèce. çle* vestibule. „La, pyramide à environ soixante- pièds ‘.de haut,
et est faite de pieires grandes ct dui e s , 1 clenues/' daps leur Situation sans^audun cimcntj ’ elïe~^se‘
. termine en pointe - vers le commencement du siècle dernier , un Slmanpi#
terrein sur lequel elle 'j&t construite, ‘enfre jW de Ja^ e tru ire : il commença p ar Impartie 'supérieure;"
- mais il lut a ir é té’par le 'zèle de P i erre-de-B oissa t, dont les ■ lurmèies eL'’s©n1^âtâg^.tpour l’anUquït^
le portèrent à employer Ja voie de la justice qujil admimstroit alorsTà;’ÿ i ^ n è ^ o ^ g G 'o ^ f
barbarie ou le fanatisme ; -on -'ne^connoît' ui'd-usage auquel ce monument a été '.destiné-,' .ni l’époque,
à laquelle il a été construit ; le peuple est persuade qu’il a servi de tombeau à Vénenus , qii’on^aV
regardé mal-^-uiîepo'scdmmj^rê 'fonGlatëuf cîe^Ytenme: Lè plus ^ a d # ;ffl'©mbre croit. été é le v é .
en d’honneur\le quelque Romain , et QJiprièr^se -fondant sur de s i ^ ^ s conjectures, le présente
comme un cénotaphe j*/ consacré M la gloire“p eT e^ ^ ^ ^m ^ ' ÂugÜstê? ' r
l N ° . 5o. V u e ^ ÿ f f z V e d e ïé g lis e d e Nobrè-Dame-de-Vie. - V
• NfetréfBaHLeî-clé-yie , Jàncien- préfèire des-Rômàins, est 'Url^ ^^ès^^n^m^^^^é clep od s'de^anïi^i
quïté, dont lâT dégradation ne peut que- foiré’ gémii? sur.les; tristes effets de l'ignorance. Ce monument
P e llk 'iso lé . ouvért^de tous côtés, formant un carré loiî'g'ïle <5o pieds de lmagpeiir, sur quai ante de
largeurj soutenu^»et pntotiré ‘ ^ p p ^ ^ ^^^rd^OTHré’7- Corinthien
■ ^n'pînbre’de Six de's races1 *ésroitet^èt (^ ^ ra i^ ^oe B ^ un e^ e ^ au tre s ‘ V- éfo ien ^ y can^ ^ ^ ^m ^
leurs, chapiteaux, ainsi que les frises et les corniches, étôient d’ùn-'tra^^Miél^ LC et digne de la mag?
nificence des Romains. Dans la suite,, ce monument a été érigé en église :■ pour .cç'Lîv^ffet, on à;
rempli de maçonnerie les, ifideSf ,'qùe les?■ cpïp'nnes,* laissoient enLr’e'lifës ; on s’est efforcé el’c'ffavcer les
cannelures dont elles étoient d é c id e s , et Jn nfie s ta encore plus dégradées par les en taillis et les
brisures qu’on y a faites pour les lier avec les ^nouveaux murs. L a dég r ad a ti omlde ce monument
paroît être du onzième siècle, puisque son érection .en chapelle est de 1029. Qnoiqu’absolument dc-
Tiguré, il présente eriêbxe des traces superbes de la grandeur et de la magnificence des peuples qui
',1e cb^t^sirent.%
N .° Vue extérieure de Vêelise St.-Pierre de Vie.
L ’ex térieu r de cette église n e ^ ^ S e t t e rien de particulier ni de remarquable Nous n e pou^ons^pcisi'
cependant passer sous silence^ u n mo n umen t singulier qu’on y observe du côté de l’ancien cimetière,
-ejt-qui a donné, lieu à beaucoup de fables. Ce sont; b'PiS grands, lions dè' pierre.* <surmontés..de? figures
mm ü ü ü
hunuaines; O n -ignore dans q q èmemps e t pouri,quel moto'if Us y ont cté placés ; il’ j 'a lieu de croire
•<Ro^ ^ ^ ^ q u l ‘ l’on” a^mariâ^b^te .
« Vienne:. B H
^ f t ^ 't t e église h ^ f f t^ p àw ^W é ^ S ^ s u r * le- lieu où, ^M ^ ^ F a q th é o n o u .^ ^ ^ p il^ tde tous lé4® i e w |)
^ prefeveht qttfelIè^^eaUTOub^ ^ a T O a ^ sà lt’ grandeur*.eîj^de sa
’det 1‘: 'êsliT^^^ ^ m Wâwiofi 'dev ienne .
T/î nVélieiife- db^cëflWéglisè1 est^ ^ ^ ^ ^ M blé' .et majestuetfx, IejValsseaMmM#:-pas de‘ îp p g q e u r^ u r
en frë s-éîey ^ ^C T r'^ ^M ^ s^ ^ ^ p eM àn n és1 canne’lé ew d ô n t i 4'^ s'^ ^Q ig ag ée s I
dans <LnJ^ i^ d ^ ^ nU n .,;5Cette ^ l i s ç e st e n tourée .,de ^ h a u ^ ga<lerie,s' m i i > j . s - - n ^ e f te t ‘'d a n ^ .J ^
p j ^ ^ ^ T ^ ^ ^ P ^ ^ p f e n 'p lu s extrêm'ehj.ènt
sous -le .tritr^ a e ";,y:
N °. 64.. Vue cl,é 'ld>principale fa ç a d e de l’église St.-Maurice de Vienne.
ç etLc ; église dédiée àcsaint M a u rice , e t cathédrale d'e (4a ville de Vienne , est janev -des. plus b ê l e s .
églises la ïYan :e. SonPsFcliit'sclni eVâtsm{)T?.; r oble e t légulibre. Le marbre de tontç-s 'les < j :ces
Y a été prodigi e t I 'rfi n“ ii » ool ] î ti] iés sans fi>li sion. E 1
j p ? * '. ' y , ^ 1 ■
W ^ m 8 m Ê È t e ^ en^ ei^
n ^m s e assez?,ldélieaË3î;èg^ àtituffif d ëireuifîce.
, elfe a' pris le nom.
© ’autres chapelles o rnent le, p ourtour de ce cloître.
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