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et atPcomage. Aussi, les scigneuis de 6pucy,so distinguèrent jpârliculièivîmciïl par ces vertus' guerrières,
ét huent picsquc Æoùjÿps employés clans les affanes les, plus impoilantes IUpaj^olL pai le fragment
a»/;I l î o n remarque au bas de l’estampe, qu'il >a existé un Enguerrand de la brandie de Pin'on,
-qpi | â l êélÉè' comme dans l’'ëfâ| !ié;sï places,- ^istil^ï
?""î'
haute et basse yiîle ; c’est à la première; que Pip:® donné le.
nom de Qou^-Iè-GMtel;, ét ellé est; ainsi nommée à cause du château. Cette ville .est si'tuée sur une s
-montagne à une petite distance de Concy-la-ville , à trois lieues N. N. O. de Soissons , quatre E.
g| ■ iLaon,,-® .pa®©|É § ouflaniVîfuë: S x
anciennement aux archevêques de Mieiins',' qui sur la fkf-du dixième-siècle en firent don sons lé titre
lé: f ie f l divers g | | g i r • et prisé' deux fois, la 'première en» 14 1 1 , el l i ■
seconde en 1423. Voyez la vue -générale d e d e vignette au lionuspice.
%u- château de P i n o n , oit se fa i t la fête du. Mai.
s i f i î é j â ; . ’frois lieues de Laon, étoit autrefois un.château fort. La beauté des
, jointe à celles denses bâtimens qui ont été''i;eb0n^ta?yi!ts dans le goût moderne,
rend^nt^ee ssejour des plus agréables ; ses jacdahsëît son parc paroissent ne faire qu’uU avec ceux de
• Danizy, résidence ordinaire des ici^e^nt évêques de Laon que l’on voit dans le fond de l’estampe. C’est dans
le parc du château.de Pinon qftè fut tué, le 5 'ou 6 aeût11678, M. Dalbrct, mestre-dc-camp cln r£gwnc,nt
de Navarre, .jjar les ordres de M. Lameth, propriétaire .de ce*château. 'Cè, së^^T^’jrÆti'la chronique^
a jo itluie femme 'fbrf^lqhe surnommée la belle picarde, lSjtûel^ ayoit une intrigue secrette avec
M. Dalbret. M. Lameth étant à chasser dans son parc, fit la Rencontre d’un paysan à1 qjai il dëiastndà; où
il ail oit Ce dernier ltb répondit < qu’il étoit porteur d’une lettré pour J’a dame son épouse , la Lui remit
et se retira. Ce seigneur instruit par la lecture de cette lettre du rendez-Yous que M. JD’albre'L assignoit
à madame Lameth, dissimula son ressentiment ^-.ei au jour 'lâ'ar^é ficfepraoellu^ gens affidés en em-
buscade dans son, parc avec rjjgdféMë tirer sur la .première, personne qui1 y passeroit à cheval*j ' ce qui
fut exécuté, et le cadavre ensuite appS^fë dâhs la cour du châLeau, pour seivir de leçon à^rnaga-m'e^.
v ÎLamêth.
N°. 5i. Vue du château 'de Blérencourt.
Blérencourt, bourg dans le ci-devant Soissonnois, à .trois lieues et demie N. O. de Soissons, n’est
remarquable que par son château, dont l'entrée îefc les bâtimens sont d l^ ^ trës-betle architecture. Der
vastes jardins très-bien' entretenus rendent;ce 'vséj’Ôtuf;'dë®feuxy^t procurent aux appartenons à£^|om|t
de. v^e^desplus /agréables. «.
: fp i S*, Vue du château Danizy, résidence, ordinaire des ci-devant évêques 'de Dam., H i
Danizy, village ci-devant du ressort duparfekent'de Paris, est'situé :efi^p^s|9% gm w^ fvpâfeï4g^s.
C’est dans çet ;enclroit que l’on trouve un ancien château* qui servoit de résidence OpçKQàire aux évêques
de Laon, et dont', la, .proximité de cette ville leur permet toit tôtft-à-la-fois, 'ë f11 de'/jquiÊ dès agr émeus
de la campagne, et de vaquer à leurs-affaires.
|||||NQ.''53. Vue de ! T Abbaye de " N agent sous 'Coùcy,
L’Abbàÿé^ue" Nbgènt. soùs Coucy est située au village du • même' nom, auprès dé la petite rivière
,d’lAîglétte, à une ffemi-lîeue• S1 <&,;O, àeGbu'cy > et deux loues; et demie -N.’Ov d'e Soissons; Elle^rat
. fondée dans le onÉèhïë^siecle; par .Àlbéric, seigneur de Coucy, prédécesseur.des; fameux Enguerrands.
Les religieux-prirent pour règle celle.de saint Benoît, et eurent pour premier abbé Henri, qui'l’étoit
précédemment de Saint-Remy deRheims et de Homblières. Celte Abbaye devint célèbre par les grands
personnages qui s’y retirèrent pour y yijrre; simples religieux SOUS les lois de saint
^ 1 1 1 ® ^ S “ ^ 8 “ H“ »6 lea senls a^ es ÔÊP IfijtUe.
nécessaire de demeurer pour y, vivre et mourir saintement. ,l
N°. 54 A. c FAI * ye a
p 4L )à V le Sai ,r N c .1 s ix-Bois situ e dans la forêt de Vois, et que les anciens titres nomment
PMimaMamiiaîpm!8otl. S p l î n ' ^ - ^'îxe''1'’ ^eH*
l l y r « i'ù- ’ ’ s çnü-f«. 't ,c ^ v lm
galion de Saint-Maur, et ses bâtimens, qui tomboient de vétusté, dntiét^tebaWs. ^ neu^ ;^ | ffp e,KLa"
nière: très^soliiiévl; i'1, ' '
(*) Nous donnerons-daii^lf d e sc rj5 ^ 4 |3 -u â® ^ te itfe n tt!d ^ ^ ri4 ^ f eux _ iragmèris. anti^ues. qua ;
l’on remarque au bas de l’estampe. .