■NOMS H O L L A N D O I S . SOSccfhhtäaaappe.n. BGoyctkt.. VTo roapg-eGl.ans. I KFeofra-nHt.aan. WPate rlydse.- S, waluw. KMwoaflr.tel. Aas-Voogel. BWeerigd-Ee-eGnadn.s. FTl aomrtienl-gDo.uyf, BKelerpg.. . FRoiv niteyrn.. Z6e. BBWoloaomamg..e. MWealactke.r. VVliese.fch. Spen. Kapelle, i Rde-Bock. IL SDtueeynk-eBr.ock. PSSlcafhn:ilg-.Pad. LPa’Edgeo.uane. Snaphan. UUnn MBooeuutfo.n. * .UDnes BMouocu.tons. -UUnne O Cifheèavur.e . LLa’O Cuatanrndee-.Pétière. UUnn MFaairftainn.et. ULan eP Ceradilrliex.. UUnn VMaouintoeuaru., LCa’Onaier df aduev aMgeo.ntagne. jULen eP hTéonuicroceprteèlrlee.. UUnne RMoochnetar.gne. UUnnee RFoivniètarien.e; LUan MArebrr.e. UUnne C Fhlaeuriro.t. DDue lL’Eaaitu.. DUne lPao Viiila'onnd.e. UUnne CAarmaiéglnéoéen.. Un Papillon. Trois différentes Gazelles.. UUnne S Meropuecnht.e . UUnne C Traopratuued.. LUen LFéugfoîul,an. N O i l S H o t t e n t o t s GGoouomu.ap. BGroio-iu.na* TAa—raKréa nbipri.s. AA——OHuar aigpa.p. AKo-Oa -Kaotiaï ,A o-un avm-Kbraob.os. AA——OKuabrii-pK.inas. VA——KGahbaa riip.. • GAa—amKpar.o hei gaamp, AA——NGeaiosr. ip. m A—Oumma. "(SAVa———AKOaaupr i.pip.. AHo—uAriapu.p. KHoauïpri.-ïp. AD—eipN.arina. V—Kama. V — A—GKaoa uosu.p. VA——HKaoruoçu.-Koup. Tabou Tabou. Gnioop. AA——AH aorui+pm.p. AA——KDainnaoaup-.Goup, VA——OOuonroak.oop. ^ V—Nafeep. |: NOMS F r a n ç o i s . NOMS H o l l a n d o i s . NOMS H o t t e n t o t s . H¡ U.UUnnn ee AFSrlaècgc.ahie.. UUnn ENuèrgorpeé.en. Un Hottentot. Une Hottentote. PBeoyolg.. SEaugraoypeé<es. Swarce-Jong. Hottentot. Hottentoten. AKg—aaApa.p. VA——AOuréree--KGoooepp.. Kabop. ¿hoé-Âoep. Tararé-Khoes. D ’après ce que j’ai dit des moeurs & de la limplicité de cette Nation, on peut facilement feconvaincre que fa langue eft pauvre ; & qu’avant l’arrivée des Européens, elle a dû l’être encore davantage ; ces derniers ont apporté des objets nouveaux auxquels il a fallu donner des noms ; ce qui fait en même temps que le Hottentot des Colonies a des expreffions que n’emploie point, & que n’entendroit pas le Hottentot S au va ge , à qui la plus grande partie de ces objets eft inconnue. Quoi qu’i} en f o i t , il y a toujours, dans cette langue , beaucoup d’analogie entre la chofe & le m o t , pour la défigner. Par exemple , ils nomment le fuiil A K a - b o o u p ; de la manière dont il faut le prononcer , le clappement & la première fyllabe A K a imitent le bruit de la détente du c h ie n , & celui de l’ouverture du baffinet : le refte du mot Bo o u p défigne, on ne peut m ieu x, l’explolion du coup. En général, la langue Hottentote eft très-expreflive, & comme,, en parlant, ces peuples gefticulent toujours & qu’ils repréfentent pour ainfi d ire , la pantomime de ce qu’ils d ife n t , il fuffit d’avoir une connoiflance fuperficielle de leur idiome, pour comprendre aifément les chofes les plus importantes. Trois femaines bien révolues s’étoient enfin écoulées depuis le départ de mes Envoyés ; je n’en étois pas à faire les premières réflexions fur les caufes qui pouvoient ainfi prolonger leur abfence; je concentrois en moi-même toutes mes inquiétudes, ne voulant Tomt II. Mm
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