Page 8

27f 59

e t noun aneto óeen w ni/a /eeen aexore/ec urne óre//ccnte rdcom fem ne, eoi ai?eeem t ¿z l/j/ée/nezne e/e / 0100™ ^ e/ann /e^ ie/¿a c réie/ni /ecem r&ùe/tezti. /S ette Aew te fcw -eecr ent ief/en fa ef/eiM it encoecraiem em tyue^, a ie f a cvm/ettomiec~, et/ e a a ^ e/efA en ¿ucr c/u-nuccen c/e -men e^orù. ^ )a ein ez/ a ^ reer, / A om m afe c/e m a recnm zadncm .ee, e t ce/ac e/e fr u ir n e / r e fe e t a n ec ie^ u el M AUIA, t a l mÉÆ ( D e ^ o b t « _s tMoa^eóbi_n, d£e irè f‘ Âumme e t très=e>vet/üemt k/ervàeto AVANT-PROPOS . D u r a n t mon premier 'voyage à l’Oasis d’Ammon( i ), les Arabes Aoulâd- A l j m’entretinrent souvent du Djebel- Akhdar, nom moderne de la Pentapole cyrénaïque. Les descriptions qu’ils me firent de leur ancien domaine (a), de ses vertes collines, de la fraîcheur de ses sources et du merveilleux de ses ruines, quoique je les supposasse exagérées, s’accordaient assez avec les traditions historiques et les récits des voyageurs, pour augmenter le désir (1) D’après l’accueil que l’on fera à mon ouvrage sur la Cyrénaïqué, j’en publierai un second, sur les cinq Oasis de l’Egypte; résultat de neuf mois de peines et de fatigues dans le désert libyque. Le jugement favorable porté sur la partie paléographique de ce second ouvrage par un célèbre archéologue, par un savant, ami sincère et défenseur généreux de la vérité, par M. Letronne, en un mot; ce jugement, publié en plusieurs occasions et sous diverses formes (voyez Journal des Savants, mars 1826; Bullet. des Scienc. histor., avril et novembre même année), prouve du moins mon exactitude scrupuleuse dans cette branche de mes recherches. Quelque obscur que soit un pareil mérite, toutefois, si l’on songe à l’importance du sujet et au théâtre de l’exploration, il est susceptible d’acquérir de l’intérêt. J’ajouterai que, fruit de la persévérance, ce faible mérite ne peut l’être aussi que de cette époque de la vie où l’on a l’avantage de réunir la force physique à la force morale ; âge heureux de ces stimulantes illusions que la froide expérience décolore bientôt et dissipe sans retour. (2) Les Aoulâd-Aly, avant d’être soumis par Mohammed-Alj, occupaient la majeure partie du Djebel-Akhdar, désert verdoyant, ainsi nommé à cause de sa belle végétation, comparée à l’aridité des lieux qui l’entourent. 1. , a


27f 59
To see the actual publication please follow the link above