LÉPIDOPTÈRES.
OIVHNES.
G r s n n IIÉLICONIK. Beìicomus. I.atr.
FÙJ. 1. L'HÉIIOOIME iLlOBii. //rfito«;,,« K/o,.,. Du Brésil 1 d'après nnli.r,-
Celle espèce diiKre nolahlement de celle que nous avons ligurio
dans la planche precedente, el représente un type biim distinct^dâns
le Rroupe nombreux des lléliconiens. (ustincl dans
/il/. 1 n. La tète de piolil.
Fig. 1 i . Le palpe, en partie dépouillé.
Fuj 1 t. L ' e x t r émi t é du tarse dans VlMvoni„s CaUicmn,. On observe
pî T s ™ 'l'<"S-T"sation chez VII. n,„„c et chez \'ll. (" oyez
Fùj. l ,1. Chenille de VU. Eulerpc D'après Steli. Le.s chenilles des especes
que M. Boisdì,val réunit pour former sa tribu d e ^ S w r f S
la n g ' t i r i ; " ' " " ' —" ""
G e n r e AGRÉE. Acroea. Fab.
Kg. 2. L 'Acme Zidora. Aoroea ZkUra. Fab. Femelle. De Sierra Leone
F,g 2 a. L aile inlerieure de cette même espèce, un peu grossie iVove/
la planche 13.5, pour la nomenclature dei n e r v u r e i r o®, voit , ' „ / h
nervure qu, frr^e la cellule discoidale, et unit les deux s ^ f e
s u p é r i e u r et inférieur des nervures. »i^u iucs ,
F i j . 2 4. Le tarse très grossi de i'.4croe» Ilo,-ta. Il diffère beaucoup ,1e celui
des Hehconiens; la p-lotle ou r™io„« et la manchette sont très ne ,
développées et les ongles .son! très gros, très forts n réellement b fides;
la pointe extrême est fort aiguë, et la pointe intérieure au cont
r a i r e n'est qu'une sorte de lobe court et émoussé
F,g. -Icel^d. Chenille et Chrysalide de \'A,-roe„ Thalm. D'après Stoll
G e s r e CÉTHOSIE. Celhmia. Fab.
' - " . ' ' • f j " , " " , " " T " - D e la Guyane. D'après nature
F,g 3 „ Tète de la même , vue de lace, pour faire voir les palpes écartes,
et divergeant de bas en haut. '
Fig 3 4. Le secontl et le iroisicme article des palpes ; celui-ci est surtout
remarquable parsa forme acicnlaire.
hjg. 3 <- Aile des C Julixi. J,™„.etc. Avec la cellule discoidale ouverte
Ftg. 3 <2. Aile des C. PmthaiLca, etc.. un peu amplifiée. La cellule discoidale
est comme on le voit, parfaitement fermi , et de forme toute
differente de la précédente.
Fig. 3 e. Tarse des Cclkosiu. .J„li„, etc. Ce t.irse reproduit, comme on
le voi t , parfaileinent celui des Argynnes. (1>1. 135.)
Fig. 3 f . Tarse des CeiAojîV, J a n o , Penlhesilca, etc. La et la manrheUe,
si développées dans la figure précédente, sont ici rudimentaires
et les ongles p resque droits et allongés.
Il y a donc dans ce genre si nombreux des Cèthosies, au moins deux
types de tarses et deux types d'ailes parfai tement distincts. Toutes les
especes que nous avons observées rentrent dans l'un de ceux oui
sont ICI figurés; les trois exemples ci-dessus font voir nue les
divisions que l'on pourrait établir par la considération des nrcmiers
d e ces organes ne coineidciaienl pas exactement avec celles nui seraient
londces exclusivement sur les seconds.
Les fi.gr,rps 1 fl, 2 c rt 2 tïrVnprh Stotl ; les m/ires d'après na.hrrc.