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ANATOMIE.
SYSTÈME MUSCULAIRE DANS LE THORAX ET DANS LES PATTES (Toutes ccsSguressout grossies,).
F,g. 1-5. Muscles situé, t dans l'intérieur du thorax et donnant le mouvement ;uix pattes
e t aux ailes. (D'après M. Chabrier. ) .
Fig-i.Conpe longitudinale montrant de profil les muscles situés dans l'intérieur du thorax
a un Diptère du genre Syrphe. ( Syrphus inanis. )
À. Tête. — B. Thorax. — G. Abdomen, — a. Origine de la première paire de pattes.— 4. De la seconde
; — De la troisième. — d. Muscles abaisseurs des ailes, »'insérant en avant au scutum et en
arriéré au postscutellum du mésothorax. — eee. — Muscles releveurs des ailes «'insérant au sternum
u une part, et au tergum de l'autre.
F f e a. Coupe transversale du mésothorax d'une Libellule ou Demoiselle (JSslma grandis),
D après M. Cbabrier, montrant une partie des muscles du vol.
na. Base de la première paire d'ailes. — 44. origine de la deuxième paire de pattes, — ce. Petites
cupules cornées ( eptdemet d'tmerhon du M. Audouin }, surmontées d'un tendon qui s« fixe à la base de
' "JJ* £*"«0ITenl c"<"!,uue un gros faisceau musculaire, cV Ce sont les muscles abaisseurs des
z j \ A TTaST' ,""SCrlU= ' " u r s W W » s'insèrent sur une cupule analogue suivie
du,, long tendon très d é l i é . D e u x autres petites cupules donnant insertion à deux trousseaux de
fibres musculaires, «'«', qui sont les musclés releveurs des ailes. —
Fig. 3. Coupe longitudinale du Thorax, du même insecte. ( D'après M. Charrier. )
t J k j j È M antérieure où serait situé le protbor« et la tête qui ont été enlevés. - B. Mésotborax et Mélaiborax
reunis. — C. Base de 1 abdomen. — a. Origine de la deuxième paire de pattes. — 4. Origine de la
iro.s.eme paire. —r , rf Prolongemens cornés, sorte d'apophyses immobiles (apodime, do M. Audouin I
sur lesquels sont articulés le» petits osselets des ailes. - eee». Extrémité des petits tendons qui joignent les
cupules ( £pideme,d>,n$erhon de M. Audouin I à la base des ailes : celles-ci enlevées. — f f . Muscle» abaisseurs
de la premier« paire d ailes.— gg. Muscles abaisseurs de la seconde paire. — hhhhhh, Muscles
auxiliaires de ceux ci, il y en a trois pour chaque aile. — i. Muscle releveur de l'abdomen. Il existe
.intérieurement un muscle autagomste qui abaisse cette partie.
Fig. 4 et 5..Muscles au nombre de vingt-et-un de l'une des pattes antérieures ou pattes à crochets
de la Chenille du saule, d'après Lyonnet . La figure 5 montre plusieurs muscles qu'on ne
voit pour la plupart qu'après avoir enlevé ceux de la figure 4.
_ a, 4, r, <L Les quatre articles de la patte terminée par un crochet,. «. — », a, 3, A. Trousseaux dé
fibrts musculaires formant autant de muscle, distincts et qui meuvent l'arlick a! - 5 6 7 8 o 10
Muscles qui agirent sur l'article 4, — 11, 1a , i3. Muscles du troisième article r. — iA is ' -¡G '¡MM ' •
19, »0. av. Muscles inséré», d'une part, au deuxième article et au troisième article" 4 e t r , et de'l'autre à
ongle, «, par I inlerméd.aire d une sorte d- petit tendon semi-corné ( épideme d'interHon de M. Audouin
). Ces muscles sont les fléchisseurs de la jambe et de l'ongle.
ABDOMEN ( Toutes ces figures sont grossies ).
F'g. 6. Abdomen dans un Dytique, vu en dessous (D'après nature par M. Andouin),"
On remarquera l'échancrure du premier anneau qui le divise en denx portions sur la
ligne moyenne.
Fig. g g Abdomen d ' u n Charançon palmiste (.D'après nature, par M. Audouin). Ici, le premier
anneau, au lieu d'être écbancré sur la ligne moyenne, présente un prolongement.
Fig. 8. Abdomen et thorax d'une Sauterelle. Yus en dessous ( D'après M. Savigny).
a. 4, r. Sternums du prothorax , du mésothorax et du métalborax, — d, e, f . Première , deuxième et
troisième paires de pattes. En arrière du thorax est l'abdonwn dont les arceaux inférieurs au nombre de •
huitet beaucoup plus étroits que les supérieurs, permettent de voir les ouvertures pour l'intromission
ac 1 air ou -tes stigmates. 1 a 7. t individu est une femelle. On aperçoit i>„ ar. ¡ère la tarière.
Fig. 9. Abdomen d'un Perce-Oreille, (F o r f i c u l a gigantea. Fabr. ) Vu de profil, d'après
M. Léon Dufonr. (Recherches sur les Ferce-Oreilies.)
On voit la manière dont les segmens supérieurs àa s'emboite.nt par imbrication avec
les segmens inférieurs bb.