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ANATOMIE.
ORGANES DE L'ODORAT, DE LA VUE, ET DE L'OUIE.
Fig. 1. Coupe longilndinale de l'oeil du chien.
a. Sclérotique. — b. Cornée transparcote, — c. Clioroide. — d. Corps ciliaìre qui
sert à fixer le cristallin. Ou voit en U' des traces de ce corps ciliairc, imprimées
sur le cristallio e. — f . Iris. — g. Humeur aqueuse. — h. Humeur vitrée. — i. Rétine.
— k. Nerf optique.
Fig. 2; 2 a , 2 h. Parties osseuses de l'organe de l'ouïe du chien.
Dans la Jig. i le roclier du côté droit est vu par sa fiice inférieure. — a. Est lu
fenêtre ovale, et b, la feuétie ronde, ouvertures par lesquelles le lal)jTÌntbe communique
avec l'intérieur de la caisse. Dans la Ji§. 2 a on voit la caisse par sa face
i n t e r n e , et les quatre osselets interposés entre la membrane du tympan et la fenêtre
ovale. —a . Cadre du tymp:in ou rebord osseux de la caisse, qui forme dans
le jeune âge un os particulier et auquel s'attache ta membrane du tympan. — b. Le
marie,lu dont le manche b' ait fixé à la membrane du tympan. — c. L'enclume. —
d. L'os lenticulaire. — e. L'étrier, os qui est placé sur la fenêtre ovale. Dans
2 è on voit l'os temporal par sa face interne avec le rocher et la caisse généralement
considérées comme faisant partie du temporal : le rocher a été taillé de manière à
mettre à découvert le labyrinthe a, le limaçon b, et les canau.t semi-circulaires antérieur
c, postérieur d, et externe e.
Fig. 3. Oreille externe gauche de la chauve-souris oreillard ( Vesii.
avriUis).
a. La conque. — b, L'oreillon ou le tragus, dans sa position ordinaire.
Fig. 3 a. La même oreille avec son oreillou abaissé pour montrer la
disposition des diverses éminences du conduit auditif.
c. Pent être considéré comme l'anihélix. — d Comme l'antitragus. On voit en
un repli ou opercule qui recouvre le trou auditif.
Fi'g. 4. Fosses nasales d'un chien coupées longiludinalement de manière
à laisser voir les cornets du côté droit.
a. Cornets inférieurs ou antérieurs. — b. Cornets supérieurs ou postérieurs qui
sont en partie, comme l'on sait, une production de l'ethmoîde. b. La grande cellule
supérieure, celle qui représente souvent à elle seule les cornets supérieurs, et recouvre
en .ivant les cornets^ antérieurs. — c. Espèce de méat, au fond duquel se
trouve l'entrée des sinus m'axillaires. — d. Ouverture postérieure des narines. —
e. Intérieur du crâne, — f . Os ethmoide, percé d'un grand nombre de trous pour
!e passage des nerfs olfactifs et sur lequel rampent quelques vaisseaux. —g-. Frontal
h. Nasal, — i. Maxillaire supérieur. — k. lutermaxillaire. — /. Palatin. —
m. Ptérygoïdien. — n. Membrane du palais.
Fig. \a. Coupe transversale des fosses nasales vers le milieu des cornets
antérieurs.
I. Cloison ou septum formé inférieurement parle vomer, et snpérienrement par
la lame verticale de l'ethmoîde. — a. Cornets inférieurs attenant à la paroi interne
du maxillaire, et formés par des lames osseuses qui se bifurquent plusieurs fois, et
qui sont recouvertes par la membrane pituilaire. — b. Extrémité de la grande cellule
du cornet postérieur. — c. Alvéoles des dents molaires.
Fig. Ah. Fosses nasales coupées transversalement vers le milieu des
cornets postérieurs.
On doit remarquer que celle figure est fictive en ce sens, qu'elle
ne représente que la moitié à-peu-prôs du circuit des lames osseuses
qui constituent les cornets. 11 est facile de doubler parla
pensée ie nombre des tours de chacune de ces lames.
I. Septum , ou cloison des narines, formées comme dans la figure a, — 2. Arrière
narines constituées par les palatins repliés sur eux-mômes et le vomer. —
3. Sinus maxillaires, — a. Cornets postérieurs formés par des lames osseuses enroulées,
recouvertes des deux rôtés par la membrane pituitaire.
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